Le Parti Croire et Oser revendique une politique différente et le fait savoir. À l’heure où les tractations se font dans les arrières-cours entre candidats du premier tour, le parti refuse toutes fusions avec d’autres listes. Après seulement six ans d’existence "en dehors des cadres institutionnels", le PCO veut "assurer une représentativité de ses électeurs dans les instances de gouvernance locale pour agir et s’engager". Articulé autour du "PLAN REGAIN", le projet du parti est "d’affirmer la souveraineté de nos territoires et de nos identités réunionnaises et assumer la résilience à l’injustice et la résignation !".
C’est à présent à Ste-Suzanne que le PCO porte toute son attention. Son Secrétaire général, Alexandre Lai Kane Cheong, est toujours en course pour la mairie. Arrivée troisième avec 15,54% des voix, la marche paraît toutefois haute pour cette année puisque Maurice Gironcel a récolté 43,42% des suffrages exprimés au premier, tandis que Daniel Alamélou a recueilli 26,93% des votes. Néanmoins, le candidat affirme que "CROISER ET OSER est la seule alternative crédible pour mettre fin à près de 30 ans de règne d’un système archaïque de clientélisme, despotisme et malversations. Nous engageons donc une campagne inédite pour convaincre les électeurs que la sortie de cette fatalité est possible dès le 28 Juin". Si la mairie n’est peut-être pas pour cette élection, l’ancrage local a par contre bien fonctionné dans la commune du Nord.
À St-Denis, Vanessa Payet-Pignolet, qui avait réussi à récolter 7,47% des voix au premier tour, a été le fruit de toutes les attentions. Nassimah Dindar lui a proposé une fusion des listes dès le lendemain du premier tour. Une fusion à laquelle "Didier Robert s’est récemment invité à la table (…), pour en faire la plateforme unifiée de la droite Dyonisienne, prenant les électeurs de CROIRE et OSER pour les agneaux sacrificiels d’une union qui ne répondrait en rien à l’objectif de changer notre vie locale" déclare le communiqué. Finalement, la candidate a préféré laisser "les barons de la politique locale (…) composés comme ils en ont l’habitude !".
À Ste-Marie, le parti invite son électorat à "contribuer à mettre fin à système archéo-colonial : tout sauf NIRLO !". Concernant la CINOR, le PCO souhaite "garantir qu’elle soit une véritable communauté de projets, au service du Territoire et des citoyens, dans le cadre d’une gouvernance partagée affranchie de la tutelle des communes".
Si le PCO ne remporte aucun siège à la fin de cette élection, ils auront toutefois réussi à s’installer dans le paysage politique local. La jeunesse, la radicalité et l’engagement pourront séduire de nouveaux électeurs à l’avenir. Gare toutefois aux "barons de la politique locale" qui n’oublieront pas.
C’est à présent à Ste-Suzanne que le PCO porte toute son attention. Son Secrétaire général, Alexandre Lai Kane Cheong, est toujours en course pour la mairie. Arrivée troisième avec 15,54% des voix, la marche paraît toutefois haute pour cette année puisque Maurice Gironcel a récolté 43,42% des suffrages exprimés au premier, tandis que Daniel Alamélou a recueilli 26,93% des votes. Néanmoins, le candidat affirme que "CROISER ET OSER est la seule alternative crédible pour mettre fin à près de 30 ans de règne d’un système archaïque de clientélisme, despotisme et malversations. Nous engageons donc une campagne inédite pour convaincre les électeurs que la sortie de cette fatalité est possible dès le 28 Juin". Si la mairie n’est peut-être pas pour cette élection, l’ancrage local a par contre bien fonctionné dans la commune du Nord.
À St-Denis, Vanessa Payet-Pignolet, qui avait réussi à récolter 7,47% des voix au premier tour, a été le fruit de toutes les attentions. Nassimah Dindar lui a proposé une fusion des listes dès le lendemain du premier tour. Une fusion à laquelle "Didier Robert s’est récemment invité à la table (…), pour en faire la plateforme unifiée de la droite Dyonisienne, prenant les électeurs de CROIRE et OSER pour les agneaux sacrificiels d’une union qui ne répondrait en rien à l’objectif de changer notre vie locale" déclare le communiqué. Finalement, la candidate a préféré laisser "les barons de la politique locale (…) composés comme ils en ont l’habitude !".
À Ste-Marie, le parti invite son électorat à "contribuer à mettre fin à système archéo-colonial : tout sauf NIRLO !". Concernant la CINOR, le PCO souhaite "garantir qu’elle soit une véritable communauté de projets, au service du Territoire et des citoyens, dans le cadre d’une gouvernance partagée affranchie de la tutelle des communes".
Si le PCO ne remporte aucun siège à la fin de cette élection, ils auront toutefois réussi à s’installer dans le paysage politique local. La jeunesse, la radicalité et l’engagement pourront séduire de nouveaux électeurs à l’avenir. Gare toutefois aux "barons de la politique locale" qui n’oublieront pas.