En début de semaine, la cour d’appel de Basse-Terre a confirmé le rejet en première instance de l’action intentée en réparation du crime de l’esclavage. Cette action menée conjointement par le Mouvement international pour les réparations et le comité international des peuples noirs ne va pas s’arrêter pour autant. Les avocats ont déjà annoncé se pouvoir en cassation.
Interrogé par Guadeloupe la Première, Roland Ezelin, l’avocat du collectif de plaignants affirme qu’en cas de rejet de la Cour de cassation, il saisirait la Cour européenne des Droits de l’Homme, voire les instances internationales de l’ONU comme de nombreux pays l’ont déjà fait.