Ce dernier m’a fait part de ses inquiétudes et de son souhait de voir l’union se réaliser sur ce problème. Il m’a indiqué qu’il est en relation directe avec le Conseil Départemental et qu’un courrier a également été adressé à la Présidente de Région.
Je vais, par conséquent, me rapprocher des cabinets de ces 2 collectivités.
J’ai ensuite rencontré les membres du collectif « nout gayar Salazie ». Les mêmes doléances ressortent tant sur le plan économique que social avec une question : à quand un retour à une vie normale dans le cirque ?
A l’issue de ces échanges, je retiens 3 souhaits de la population, et des élus :
L’urgence de réaliser des études pour un nouveau tracé de la route ;
Sécuriser au maximum la route actuelle et la rendre aux habitants et visiteurs ;
Identifier clairement les responsables sur le plan juridique de cette RD48 en cas de sinistre. En aucun cas, les automobilistes doivent assumer les dommages sur leurs véhicules. D’autant plus qu’ils n’ont aucun autre itinéraire à emprunter pour se rendre sur le littoral.
Le cirque de Salazie est un des joyaux de notre île. Nous devons tous, à tous les niveaux de décision, tout mettre en œuvre pour leur apporter de l’aide et des solutions durables garantissant leur sécurité.
J’invite d’ailleurs le Ministre délégué aux Outre-Mer à se rendre à Salazie lors de sa visite annoncée pour les 16 et 17 février prochain. »