
Le restaurant Hippopotamus affiche toujours porte close...
Les salariés du restaurant Hippopotamus de la Technopole de Saint-Denis sont toujours dans l'expectative.
Depuis le 7 octobre, jour où la quinzaine d'employés a trouvé le restaurant fermé après 15 jours de fermeture pour "congés annuels" et avec pour seule mention sur la devanture de l'établissement : "Travaux rénovation en salle. Réouverture sous quinzaine", il y a eu peu d'évolution.
"Nous avons reçu une lettre recommandée le 14 octobre nous informant que nous étions au chômage technique", témoigne une salariée. Depuis, c'est le statut quo. Les restaurant est toujours fermé et il n'y a aucun contact entre le gérant et les employés.
"Nous n'avons toujours pas été payés", poursuit la salariée. Certains d'entre eux n'ont pas touché leur paye depuis le mois de juillet 2013. C'est donc un "sentiment d'abandon" qui habite les employés du restaurant vis à vis de leur gérant, qui assurait il y a encore trois semaines que le restaurant trouverait un repreneur d'ici le 15 octobre. Les délais sont depuis explosés et aucun repreneur ne semble pointer le bout de son nez.
"Il nous a mis dans une position délicate. On a des enfants à nourrir, des loyers à payer. On ne peut même pas toucher les Assedic", renchérit cette salariée. Se dirige-t-on vers une reprise ou une liquidation judiciaire de l'établissement ? "On est très inquiets", lâche-t-elle.
Certains des salariés ont entamé une procédure aux prud'hommes. Une audience est prévue prochainement. Le restaurant, lui, affiche toujours porte close.
Depuis le 7 octobre, jour où la quinzaine d'employés a trouvé le restaurant fermé après 15 jours de fermeture pour "congés annuels" et avec pour seule mention sur la devanture de l'établissement : "Travaux rénovation en salle. Réouverture sous quinzaine", il y a eu peu d'évolution.
"Nous avons reçu une lettre recommandée le 14 octobre nous informant que nous étions au chômage technique", témoigne une salariée. Depuis, c'est le statut quo. Les restaurant est toujours fermé et il n'y a aucun contact entre le gérant et les employés.
"Nous n'avons toujours pas été payés", poursuit la salariée. Certains d'entre eux n'ont pas touché leur paye depuis le mois de juillet 2013. C'est donc un "sentiment d'abandon" qui habite les employés du restaurant vis à vis de leur gérant, qui assurait il y a encore trois semaines que le restaurant trouverait un repreneur d'ici le 15 octobre. Les délais sont depuis explosés et aucun repreneur ne semble pointer le bout de son nez.
"Il nous a mis dans une position délicate. On a des enfants à nourrir, des loyers à payer. On ne peut même pas toucher les Assedic", renchérit cette salariée. Se dirige-t-on vers une reprise ou une liquidation judiciaire de l'établissement ? "On est très inquiets", lâche-t-elle.
Certains des salariés ont entamé une procédure aux prud'hommes. Une audience est prévue prochainement. Le restaurant, lui, affiche toujours porte close.