Revenir à la rubrique : Société

Dépôts sauvages: Après la prévention, la CIVIS passe à la répression

A tous les administrés, auteurs des dépôts sauvages ou peu respectueux du règlement de collecte, il vous en coûtera désormais entre 150 et 1 500 euros selon le type de contravention relevée. Créée depuis 2007, pour des missions de sensibilisation à la protection de l’environnement mais aussi à la réduction et à la valorisation des déchets, […]

Ecrit par – le mardi 14 février 2017 à 10H30

A tous les administrés, auteurs des dépôts sauvages ou peu respectueux du règlement de collecte, il vous en coûtera désormais entre 150 et 1 500 euros selon le type de contravention relevée.

Créée depuis 2007, pour des missions de sensibilisation à la protection de l’environnement mais aussi à la réduction et à la valorisation des déchets, la Brigade Intercommunale de l’Environnement, étoffe aujourd’hui son champ d’action. Depuis une semaine, la Brigade rattachée à la direction de la Gestion des Déchets de la CIVIS procède à la verbalisation des administrés peu respectueux de l’environnement. 

Six agents sur le terrain

 

Depuis la mise en oeuvre du dispositif de Procès-verbal électronique, « près d’une dizaine de verbalisations sont sur le point d’être dressées sur l’ensemble du territoire de la CIVIS ».

Les contrevenants ont pu être identifiés et seront prochainement verbalisés d’une contravention de classe II (150 euros) pouvant aller jusqu’à la classe V (1 500 euros). « Les services communaux des communes membres procèderont au nettoyage de l’ensemble des sites en partenariat avec la CIVIS », indique l’intercommunalité.

Hier, plusieurs dépôts sauvages ont été constatés sur le secteur de Saint-Louis dans la zone du Gol. La Civis prévient, elle ne tolérera plus « ces comportements et les actes d’incivilité qui nuisent et salissent le territoire ».

6 agents quadrilleront le territoire avec pour objectif la prévention et désormais également la répression. 

 

Thèmes :
Message fin article

Avez-vous aimé cet article ?

Partagez-le sans tarder sur les réseaux sociaux, abonnez-vous à notre Newsletter,
et restez à l'affût de nos dernières actualités en nous suivant sur Google Actualités.

Pour accéder à nos articles en continu, voici notre flux RSS : https://www.zinfos974.com/feed
Une meilleure expérience de lecture !
nous suggérons l'utilisation de Feedly.

S’abonner
Notification pour
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires

Dans la même rubrique

[Communiqué] 8 000 euros offerts pour la restauration du Chemin de croix de la Chapelle Pointue

Samedi 18 mai, dans le cadre de la Nuit des musées, Allianz France a remis à Béatrice Sigismeau, vice-Présidente du Conseil départemental, qui représentait le Président Cyrille Melchior, un don de 8 000 € pour la restauration du chemin de croix de la Chapelle Pointue, au Musée de Villèle. Une cérémonie à laquelle participait également la Conseillère départementale Eglantine Victorine.

Coup d’envoi de la Marche des visibilités ce dimanche

La Marche des visibilités va s’élancer du Jardin de l’Etat, à Saint-Denis, ce dimanche après-midi à 14h. Cette quatrième édition se terminera sur le Barachois avec des prises de parole et performances artistiques. Le Mois des visibilités doit, lui, s’achever le 25 juin prochain.

Le prix des oignons péi flambe sur les marchés

Depuis le mois dernier et l’interdiction par l’Inde de toute exportation de sa production d’oignons, les familles réunionnaises versent une larme à chaque fois qu’elles doivent s’approvisionner. Un lecteur de Zinfos974 nous a ainsi fait parvenir une photo prise samedi sur le marché de Saint-Pierre, où le prix de l’oignon péi, certes bien meilleur que son cousin indien, se négocie à 18 euros le kilo !

« L’histoire de la Buse est assez emblématique de la carrière d’un pirate de l’époque »

Si le mythe réunionnais du trésor de la Buse se nourrit depuis plusieurs décennies des nombreuses annonces, jamais confirmées, de découverte d’une potentielle cache secrète, Charles-Mézence Briseul estime qu’il faut rompre avec la coutume de la chasse au trésor et privilégier une archéologie de la piraterie. L’auteur de « La Buse, la biographie du plus grand pirate français » souligne par ailleurs que les rares éléments tangibles disponibles témoignent des difficultés financières du marin calaisien après le célèbre pillage de la Vierge du Cap.