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Corsair: Ouverture d’une ligne directe hebdomadaire entre Saint-Denis et Antananarivo

Après avoir lancé en janvier dernier des vols entre La Réunion et Mayotte, Corsair réaffirme son ambition de se développer sur les vols régionaux dans l’Océan Indien. La compagnie a annoncé ce jeudi 6 avril 2017 le lancement de son premier vol entre l’île de La Réunion et Madagascar à compter du 9 avril prochain. […]

Ecrit par – le jeudi 06 avril 2017 à 15H25

Après avoir lancé en janvier dernier des vols entre La Réunion et Mayotte, Corsair réaffirme son ambition de se développer sur les vols régionaux dans l’Océan Indien. La compagnie a annoncé ce jeudi 6 avril 2017 le lancement de son premier vol entre l’île de La Réunion et Madagascar à compter du 9 avril prochain.

Corsair, présent à Madagascar depuis plus de 20 ans, obtient les droits de trafic long-courrier en novembre 1996 et opère son premier vol sur Antananarivo.

Avec l’ouverture d’une ligne directe hebdomadaire entre Saint-Denis et Antananarivo ce dimanche 9 avril, la compagnie continue d’étendre son réseau sur le régional et se déploie notamment sur les Iles Vanilles.

D’ores et déjà disponibles dans les systèmes de réservation et sur Corsair.fr, les vols décolleront de l’Ile de la Réunion à 12h30, pour une arrivée à Antananarivo à 13h10. Les vols retours seront opérés le même jour, avec un départ à 18h00 et une arrivée à 20h30. Les passagers en continuation pour Paris pourront profiter d’un vol de nuit pour leur plus grand confort.

En assurant la liaison entre Gillot et Antananarivo, Corsair « offre aux Réunionnais et aux Malgaches une véritable alternative pour se déplacer au sein de l’Océan Indien à des tarifs extrêmement compétitifs ». Ainsi, le billet vers la Grande île coûtera 198€ TTC sans bagage et 238€ avec bagage.

Pascal de Izaguirre, Président-Directeur général a déclaré que « l’ouverture de la desserte régionale Réunion/Antananarivo ce dimanche 09 avril marque d’une part notre engagement auprès des Malgaches, et d’autre part, notre volonté de favoriser les échanges de personnes et de biens, tout en dynamisant le tourisme entre les îles sœurs de l’Océan Indien, par exemple en multipliant les opportunités de séjours combinés inter-îles ».

 

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