Le 28 septembre 2022, Jean est contrôlé par la gendarmerie suite à la suspicion de nombreuses personnes. À 11h48, son taux d’alcool est mesuré à plus de 50mg/l d’air expiré. Cela signifie qu’il était à plus d’un gramme lorsqu’il a pris son service à 6h du matin et qu’il a effectué ses rotations avec des collégiens à bord. L’éthylotest de démarrage du bus était par ailleurs endommagé, ce qui lui vaut son deuxième chef d’inculpation.
À la barre du tribunal, Jean va expliquer qu’il n’avait bu que trois ou quatre pintes la veille au soir pour un anniversaire. Pour l’éthylotest, il essaye de faire croire qu’il s’agit d’un complot contre lui. « C’est mon collègue qui casse et mon patron le protège. Ils mettent tout sur moi », assure-t-il. Le procureur va lui rappeler son manque de chance de se faire confier le bus avec l’éthylotest cassé le jour où il a bu.
« Ce n’est pas acceptable. Conduire un bus scolaire avec 1 g d’alcool. Ce qu’il y a de plus précieux au monde, c’est la sécurité des enfants. La seule bonne surprise, c’est qu’il n’y a pas eu de drame », souligne le procureur qui requiert une peine de six mois de prison avec sursis et l’annulation de son permis, avec interdiction de le repasser pendant un an.
Finalement, il va être condamné à six mois de prison avec sursis et une obligation de soin pour l’alcool. Son permis est suspendu pour neuf mois. Le juge lui rappelant que « si vous recommencez, vous allez en prison.«
En plus le type n’assume pas ses fautes et fait preuve de mauvais foi. Quelle honte !
Un pauvre homme sans dignite
Et il garde son emploi après les 9 mois?
Un tueur !!!
Malheureusement c’est pas le premier et ça sera pas le dernier quand je vois l’allure de certains bus je préfère marché a pied surtout que beaucoup d’entre eux son zamalé jusqu’au coup