Ce mardi, Alain T. faisait, par la voix de son avocat, Me Iqbal Akhoun, appel de la poursuite de son placement en détention provisoire pour viol et agression sexuelle sur mineur de 15 ans prononcé par le juge des libertés et de la détention de Saint-Pierre, le 14 septembre dernier. De janvier 2022 à septembre 2022, un des élèves de ce professeur d’aïkibudo de Petite-Ile avait dénoncé plusieurs actes sexuels non consentis. Au soutien de sa plainte, le jeune avait fourni des messages et des échanges qui prouveraient ses liens avec le mis en cause. Des photos compromettantes auraient été jointes à la procédure.
Le sexagénaire aurait reconnu avoir eu des relations sexuelles avec le jeune homme âgé de 16 ans mais aurait décrit des actes consentis dans le cadre d’une liaison amoureuse. Celui qui gère également une laverie dans le sud du département est aussi accusé d’attouchement sexuel par un autre pratiquant de cet art martial, entre août et novembre 2022. L’adolescent de 15 ans aurait été convié à dormir chez son professeur qui en aurait profité pour lui « toucher le sexe », a indiqué le président de la chambre de l’instruction lors de l’audience publique de ce mardi.
En 2011, Alain T. avait été condamné par le tribunal correctionnel de Melun (Seine-et-Marne) pour administration de substances nuisibles à un mineur et agression sexuelle. Une condamnation que la représentante de la société n’a pas manqué de relever à l’instar de la précédente demande de remise en liberté faite par l’intéressé en juin dernier.
Un élément que l’avocat de l’accusé estime peu pertinent au motif que « les faits sont anciens ». Décrit comme un pédophile, un pygmalion, un homme ayant un ancrage profond dans la perversité sexuelle « qu’il tente de faire passer pour la normalité » par l’expert psychologue qui l’a examiné, Alain T. est poursuivi pour harcèlement envers le premier plaignant. Celui-ci aurait été inondé de SMS par le criminel présumé le menaçant de divulguer son homosexualité sur les réseaux sociaux. Sous suivi socio-judiciaire et en récidive au moment des faits allégués, Alain T. ne « se remet pas en question » selon le parquet général et présente « un danger pour les jeunes garçons ». La confirmation de son placement sous écrou a été requis. La chambre de l’instruction a mis sa décision en délibéré.
Le nombre de malades qui n’arrivent pas à dissocier leur tête de leur slip… c’est affligeant
Et trafiquant drogue , foutu.
Les gars i contrôle pas zot libido….ça craint.
Pardonner le dans la grâce de Dieu il ne savait pas ce qu’il faisait :'(
Et quoi encore ? Il n’est pas bien où il est …… ?
la justice ne fera pas son travail de protéger les victimes même mineures, comme d’habitude