Jean castex aux côtés de Didier Robert : "C'est dans les territoires, et notamment les régions, que se trouvent les réponses à la crise. Par-delà les appartenances et ambitions politiques, nous signons aujourd'hui un accord historique avec les régions de France : 40 milliards pour la relance et l'emploi !"
Le président Didier Robert a participé à la rencontre entre le Premier ministre Jean Castex, le président de Régions de France, Renaud Muselier et les présidents des régions, pour la signature du Grand Plan de Relance Economique. Cet accord exceptionnel acte l’engagement de l’Etat et des Régions à agir conjointement pour la relance économique dans chaque territoire avec une première enveloppe dédiée à court terme à hauteur de 600 millions d’euros.
Le plan global (hors grands projets transports) prévoit 1,5 milliard d’euros. La rencontre de ce jour clôture ainsi plusieurs mois d’échanges et de propositions pour permettre d’apporter à l’échelle locale des solutions propres à chaque territoire.
« Je salue cet Accord signé ce 28 septembre à Matignon qui confie plus de responsabilités aux régions, à partir des problématiques locales et des projets de territoires. Une enveloppe de 600 millions pour 2020 pour répondre à l’urgence et engager un nouveau modèle. Les secteurs en forte turbulence doivent être particulièrement soutenus : les PME, le tourisme, la culture … Plus que jamais je défends et plaide pour la cohérence des politiques publiques au service des Réunionnais », affirme Didier Robert.
Cette crise sanitaire sans précédent qui frappe les Français, les Réunionnais, exige la mobilisation de tous les acteurs, au premier rang desquels l’acteur public. Le président Didier Robert a, dès les premiers jours de la crise sanitaire, engagé un véritable plan de relance d’urgence de 140 millions d’euros à travers des aides directes, ou encore des dispositifs tels que le chèque tourisme. Le soutien de l’Etat dans ce contexte est une marque forte de solidarité nationale.
Cette crise pose de nouvelles priorités pour La Réunion et plus largement pour les territoires : favoriser les circuits courts, la proximité, la production locale, l’accès pour tous à la santé, l’accélération de la transformation de la société et de l’économie par le numérique... La transition écologique plus que jamais s’affirme comme une préoccupation collective. Et c’est bien l’échelle locale qui s’avère être un repère indispensable pour les concitoyens. Ces adaptations appellent une action différenciée pour chaque territoire. Les Régions sont des acteurs incontournables pour dynamiser l’investissement public à travers les politiques qu’elles portent : soutien au développement économique, aménagement et cohésion du territoire, transports et mobilités, lycées, formation professionnelle, recherche, soutien à l'agriculture...
Parmi les engagements de l’accord … L’Etat et les Régions :
- poursuivent leur mobilisation au service de la relance des secteurs économiques les plus touchés par les conséquences de la crise de la Covid
- s’accordent sur des priorités stratégiques à inscrire dans les CPER (Contrats de Plan Etat-Région) et les accords de relance pour construire « le monde d’après »
- conviennent d’une approche territorialisée et différenciée de la relance
- conviennent de la nécessité de mobiliser davantage de moyens pour construire la relance.
Le plan global (hors grands projets transports) prévoit 1,5 milliard d’euros. La rencontre de ce jour clôture ainsi plusieurs mois d’échanges et de propositions pour permettre d’apporter à l’échelle locale des solutions propres à chaque territoire.
« Je salue cet Accord signé ce 28 septembre à Matignon qui confie plus de responsabilités aux régions, à partir des problématiques locales et des projets de territoires. Une enveloppe de 600 millions pour 2020 pour répondre à l’urgence et engager un nouveau modèle. Les secteurs en forte turbulence doivent être particulièrement soutenus : les PME, le tourisme, la culture … Plus que jamais je défends et plaide pour la cohérence des politiques publiques au service des Réunionnais », affirme Didier Robert.
Cette crise sanitaire sans précédent qui frappe les Français, les Réunionnais, exige la mobilisation de tous les acteurs, au premier rang desquels l’acteur public. Le président Didier Robert a, dès les premiers jours de la crise sanitaire, engagé un véritable plan de relance d’urgence de 140 millions d’euros à travers des aides directes, ou encore des dispositifs tels que le chèque tourisme. Le soutien de l’Etat dans ce contexte est une marque forte de solidarité nationale.
Cette crise pose de nouvelles priorités pour La Réunion et plus largement pour les territoires : favoriser les circuits courts, la proximité, la production locale, l’accès pour tous à la santé, l’accélération de la transformation de la société et de l’économie par le numérique... La transition écologique plus que jamais s’affirme comme une préoccupation collective. Et c’est bien l’échelle locale qui s’avère être un repère indispensable pour les concitoyens. Ces adaptations appellent une action différenciée pour chaque territoire. Les Régions sont des acteurs incontournables pour dynamiser l’investissement public à travers les politiques qu’elles portent : soutien au développement économique, aménagement et cohésion du territoire, transports et mobilités, lycées, formation professionnelle, recherche, soutien à l'agriculture...
Parmi les engagements de l’accord … L’Etat et les Régions :
- poursuivent leur mobilisation au service de la relance des secteurs économiques les plus touchés par les conséquences de la crise de la Covid
- s’accordent sur des priorités stratégiques à inscrire dans les CPER (Contrats de Plan Etat-Région) et les accords de relance pour construire « le monde d’après »
- conviennent d’une approche territorialisée et différenciée de la relance
- conviennent de la nécessité de mobiliser davantage de moyens pour construire la relance.
