« Les Réunionnais ne méritent pas un hôpital de seconde division ». Le 3ème vice-président du conseil départemental et porte-parole d’Objectif Réunion, Jean-Jacques Morel, a interpellé le Premier ministre Bernard Cazeneuve et la ministre de la Santé, Marisol Touraine, sur la situation du CHU Réunion. Dans un courrier de trois pages qu’il a publié sur sa page Facebook, Jean-Jacques Morel demande au gouvernement de « concrétiser en acte l’égalité réelle » qu’il « affiche en cette d’année ».
Une vidéo de la maire de Saint-Louis fait surface depuis hier soir sur les réseaux sociaux. Elle y fait la fête, avec champagne et feux d’artifice. Juliana M’Doihoma lance : « Ce soir, on célèbre la justice pénale » avant d’ouvrir une bouteille. Le parallèle est alors fait avec la condamnation de son adversaire politique, Cyrille Hamilcaro.
Le vote de la commission d’appel d’offres sur le choix du maître d’œuvre pour la conception du deuxième viaduc de la Nouvelle Route du Littoral a été marqué par une opposition de deux membres de la majorité. C’est là un désaccord mineur sur la procédure mais pas de division politique, assure-t-on du côté de la Région.
Le député Jean-Hugues Ratenon indique dans un communiquer qu’il apporte tout son soutien à la CNL qui organise ce samedi 23 septembre à 9h une marche du logement dans les rues de St Denis.
Jean-Dominique Ramassamy et Marcel Ramaco ont appelé les grands électeurs proches du Rassemblement national à ne pas soutenir leur secrétaire départemental, Johnny Payet, présent sur la liste de Jean-Jacques Morel. Ils l’accusent d’être un “menteur” et un “manipulateur”.
À la veille de la clôture de la campagne des sénatoriales, Michel Vergoz tente une dernière fois de convaincre les grands électeurs. Il appelle ces derniers à voter en leur âme et conscience « sans la surveillance d’un chef » car « dans le secret de l’isoloir », argue la tête de liste de Trait-d’union.
L’ancien maire de Saint-Louis a été condamné en appel à 12 mois de prison sous surveillance électronique, 10.000 euros d’amende et cinq ans inéligibilité pour l’exercice de façon irrégulière de la fonction de maire. Patrick Malet, poursuivi pour complicité, écope lui aussi en appel de 12 mois de sursis, 20.000 euros d’amende et cinq ans d’inéligibilité.
