Les discussions sont toujours au point mort dans le conflit opposant les transporteurs sur l'attribution du marché MT 6-1. Et après le ralé-poussé d'hier soir, pas sûr que cela favorise une reprise des discussions entre les deux parties.
Toujours mobilisés face à l'absence de retour de la part du groupement SBTPC-GTOI et du camp de Jean-Bernard Caroupaye, les transporteurs réunis au sein du GRTS promettent de passer à un cran supérieur dans leur contestation "dès demain".
Pour rappel depuis lundi, seulement une quinzaine de camions transportant les matériaux pour le chantier MT6-1 sur la NRL ont pu effectuer leur livraison sur site. Une situation qui ne saurait perdurer au vu des enjeux liés à la livraison de la NRL et qui n'arrange au final aucun des protagonistes.
Toujours mobilisés face à l'absence de retour de la part du groupement SBTPC-GTOI et du camp de Jean-Bernard Caroupaye, les transporteurs réunis au sein du GRTS promettent de passer à un cran supérieur dans leur contestation "dès demain".
Pour rappel depuis lundi, seulement une quinzaine de camions transportant les matériaux pour le chantier MT6-1 sur la NRL ont pu effectuer leur livraison sur site. Une situation qui ne saurait perdurer au vu des enjeux liés à la livraison de la NRL et qui n'arrange au final aucun des protagonistes.
"Ils savent que nous sommes déterminés et que nous ne lâcherons pas le combat", maintient Hubert Poinapin qui réclame la réintégration du GRTS dans le marché MT6-1 mais aussi "la fin des menaces".
"On ne bougera pas de là"
"Ce qui s'est passé hier, que ce soit les intimidations reçues dans l'après-midi ou le caillassage d'un de nos camions est inadmissible", s'emporte le patron du SRTT. Il assure qu'une plainte sera déposée cet après-midi "envers les responsables".
Cet après-midi, Hubert Poinapin et ses soutiens seront reçus par le président de la Chambre de commerce Ibrahim Patel. Une demande de conciliation a également été envoyée aux présidents de la Région et du Département, Didier Robert et Cyrille Melchior.
"Nous sommes ouverts au dialogue, nous n'attendons que cela", reprend Hubert Poinapin qui espère un déblocage rapide de la situation. Dans le cas contraire, "on ne bougera pas de là. On sait ce qu'il faut faire et nous savons de quoi nous sommes capables", prévient-il.
"On ne bougera pas de là"
"Ce qui s'est passé hier, que ce soit les intimidations reçues dans l'après-midi ou le caillassage d'un de nos camions est inadmissible", s'emporte le patron du SRTT. Il assure qu'une plainte sera déposée cet après-midi "envers les responsables".
Cet après-midi, Hubert Poinapin et ses soutiens seront reçus par le président de la Chambre de commerce Ibrahim Patel. Une demande de conciliation a également été envoyée aux présidents de la Région et du Département, Didier Robert et Cyrille Melchior.
"Nous sommes ouverts au dialogue, nous n'attendons que cela", reprend Hubert Poinapin qui espère un déblocage rapide de la situation. Dans le cas contraire, "on ne bougera pas de là. On sait ce qu'il faut faire et nous savons de quoi nous sommes capables", prévient-il.