Transporté au CHU de Bellepierre, il souffre d’une fracture du fémur, mais par miracle ses jours ne sont pas en danger.
Transporté au CHU de Bellepierre, il souffre d’une fracture du fémur, mais par miracle ses jours ne sont pas en danger.
La libération de la parole se fait plus fréquente, mais les tabous, les barrières à la prise de parole ont encore la vie dure. Inceste, viol, harcèlement scolaire, violences intrafamiliales… Les actions des associations se multiplient pour faire évoluer la société et permettre une meilleure prise en charge de ces affaires. Ce samedi 30 septembre se tiendra la 3e action du Metoo inceste 974. Plus de 25 victimes, portant des pseudos, pourront libérer la parole. Le 11 octobre, dans le cadre d’une campagne anti-harcèlement, un meeting sera organisé pour dire “Stop au harcèlement scolaire”. L’objectif : apporter des témoignages, échanger et faire ressortir des solutions. Le travail associatif est crucial, mais celui des professionnels qui entourent ces problématiques l’est tout autant.
Une importante opération de sécurisation du quartier de Bras-Fusil a été menée par la compagnie de gendarmerie départementale de Saint-Benoît. Bien que l’opération se soit déroulée dans une atmosphère cordiale avec les habitants, les militaires ont procédé à plusieurs interpellations.
La justice a tranché dans l’affaire d’escroquerie aux avoirs et remboursements menée par Richard* dans le Mr Bricolage de Saint-Pierre. L’ancien chef de la sécurité écope d’une peine mixte qui pourra être aménagée. Si la cheffe de caisse remplaçante a également été reconnue coupable d’escroquerie, les trois conseillers/vendeurs ont été relaxés par le tribunal.
Un homme a été condamné par le tribunal correctionnel de Saint-Pierre au nom de plusieurs juridictions pour plusieurs escroqueries. Véritable prodige dans son domaine, le prévenu a lésé aussi bien des institutions que ses proches pour mener une vie de luxe. S’il jure la main sur le cœur s’être amendé, ses soucis judiciaires ne sont pas terminés.
Venue de l’Hexagone pour s’installer sur une île où l’on est mieux rémunéré, une trentenaire, enseignante depuis une dizaine d’années, a cédé aux sirènes de la fête et des stupéfiants après avoir fait « de mauvaises rencontres » dès son arrivée. Interpellée en allant chercher un colis postal qui contenait de la kétamine et de la cocaïne, la prof avait bénéficié de la clémence du tribunal en première instance qui avait décidé que son casier resterait vierge. En appel à la demande du parquet, la prévenue risque de tout perdre.
Après avoir été hospitalisé plusieurs jours, l’adolescent qui a avoué avoir tué Shana a été présenté au tribunal ce jeudi. Il a été placé en détention provisoire.