C’est une victime visiblement très traumatisée qui s’est avancée à la barre du prétoire du tribunal correctionnel de Saint-Denis la semaine passée afin de témoigner de ce qu’elle a vécu. « J’ai peur de ce qu’il pourrait me faire. Il est très violent ». La jeune femme qui s’accroche à son mouchoir a l’impression de voir son ex-conjoint « partout ».
Le 14 avril dernier, Thomas Moler avait été condamné pour violences conjugales sur cette même dame et avait interdiction d’entrer en contact avec elle. Déjà, lors du délibéré de l’audience, il avait proféré des menaces de mort à son encontre. Sur les conseils de son avocate, elle s’était rendue au commissariat afin de porter plainte. Mais les forces de l’ordre avaient refusé de prendre sa plainte, explique le conseil. « Depuis, il appelle depuis la prison qui est un vrai gruyère, fustige Me Frédérique Fayette. A chaque appel, je lui ai dit d’aller porter plainte et à chaque fois, elle a essuyé un refus ».
L’avocate avait alors écrit au parquet de Saint-Denis afin de dénoncer les menaces dont sa cliente faisait régulièrement l’objet. « Il appelle, il n’y a personne au bout du fil ou alors il prend une voix féminine. Elle est menacée à coups de têtes de mort sur les réseaux sociaux. Il dit « quand je sors, tu vas voir… » », détaille la robe noire à l’attention du tribunal. Puis, c’est le parcours du combattant pour la victime afin de trouver des soutiens. Elle subit également une expertise psychologique. « Ce jeune homme est un ancien détenu. Dans le cadre de sa réinsertion, il a rencontré ma cliente qui est travailleur social. Elle a essayé de l’aider et elle est tombée amoureuse. Maintenant on le lui reproche ».
Au soutien des intérêts de Thomas Moler qui n’a pas l’air de se rendre compte de la gravité des faits qui lui sont reprochés, la défense décrit un jeune homme blasé par les peines d’emprisonnement. « C’est un stage de sensibilisation aux violences conjugales dont il a besoin », plaide le conseil. Le tribunal a vraisemblablement décidé qu’il était trop tard. Thomas Moler est condamné à deux ans d’emprisonnement ferme. Il a interdiction de contact avec son ex-compagne pendant trois ans. Un an supplémentaire pourrait lui être infligé en cas de non-respect de cette nouvelle obligation.
Il faut l’envoyer purger ses peines en Métropole. En cas de tentatives de retour, il sera bloqué aux Douanes.
Cayenne plutôt et sans portable souplait
Quand il va sortir, c’est le meurtre assuré. Le juge, il croit à son interdiction ? sérieux ?
Au troumon gars. P’tit sans s et mal élevé. Crève dedans !!!!!!
C’est un stage de sensibilisation aux violences conjugales dont il a besoin », plaide le conseil
🤣on arrive à un niveau de bêtises dans la magistrature. membre Syndicat de la Magistrature qui a défilé contre notre police hier?
Certains ne comprennent que la trique, désolé
Côté bêtise, la vache semble bien pourvue: le « conseil » n’est pas un magistrat, c’est l’avocat du crétin.
Les femmes ADORENT les hommes violents elles ADORENT les mauvais garçons et méprisent les gentils en cherchant à les ESCROQUER leur argent et en les manipulant et en se foutant de leur gueule
Donc c’est la faute de la femme?
Certains hommes sont frustrés et en deviennent misogyne…
C est la voix de l expérience qui se manifeste…?
Exactement
Les femmes ADORENT les badge boys pas les gentils
Bad
Elle aurait peut-être fû être un peu plus prudente avant de « tomber amoureuse’ d’un si charmant garçon.