Revenir à la rubrique : Faits divers

Cogohr : Les anciens dirigeants condamnés à six mois de prison avec sursis

Les anciens dirigeants du Cogohr (Comité de Gestion des Oeuvres Sociales Hospitalières de la Réunion), Arsène Nerbard (ex-président du Cogohr) et Christian Pressouyre (ex-directeur), ont été condamnés en appel à six mois de prison avec sursis, jeudi 20 mars 2014, comme le rapporte Le Quotidien dans son édition du jour. Pendant plusieurs années, ils avaient […]

Ecrit par zinfos974 – le vendredi 21 mars 2014 à 10H13

Les anciens dirigeants du Cogohr (Comité de Gestion des Oeuvres Sociales Hospitalières de la Réunion), Arsène Nerbard (ex-président du Cogohr) et Christian Pressouyre (ex-directeur), ont été condamnés en appel à six mois de prison avec sursis, jeudi 20 mars 2014, comme le rapporte Le Quotidien dans son édition du jour.

Pendant plusieurs années, ils avaient bénéficié de billets d’avion gratuits via une caisse noire. Poursuivis pour abus de confiance, les deux dirigeants ont toujours nié les faits qui leurs étaient reprochés, la défense plaidant ainsi la relaxe.

Mais la cour d’appel a confirmé dans son délibéré la condamnation dont ils avaient fait l’objet en première instance.

Arsène Nerbard, l’ex-directeur du GHER (Groupe Hospitalier Est Réunion), a en outre interdiction à vie d’exercer une fonction d’administrateur social. L’ancien président du Coghor et Christian Pressouyre devront également rembourser le préjudice financier subi, de plus de 15.000 euros.

 

Thèmes :
Message fin article

Avez-vous aimé cet article ?

Partagez-le sans tarder sur les réseaux sociaux, abonnez-vous à notre Newsletter,
et restez à l'affût de nos dernières actualités en nous suivant sur Google Actualités.

Pour accéder à nos articles en continu, voici notre flux RSS : https://www.zinfos974.com/feed
Une meilleure expérience de lecture !
nous suggérons l'utilisation de Feedly.

S’abonner
Notification pour
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires

Dans la même rubrique

Saint-Leu : Le père de famille absent à son procès, mais bien présent dans la terreur

Un quadragénaire était jugé ce jeudi par le tribunal correctionnel de Saint-Pierre pour avoir fait vivre un cauchemar à la mère de son fils et à sa famille. En plus des violences et des menaces de mort, il est soupçonné d’avoir dégradé plusieurs véhicules. Faute de preuves matérielles pour ces derniers faits, le tribunal a préféré aller au-delà des réquisitions sur le reste afin d’assurer la paix aux victimes.

Elle tente de se rendre en Chine avec 180.000 euros dans les bagages

Un couple était jugé jeudi 18 avril 2024 par le tribunal correctionnel de Saint-Pierre pour blanchiment d’argent, abus de biens sociaux et transfert d’argent non déclaré entre pays. La femme a tenté de se rendre en Chine avec 180.000 euros dans ses bagages. Un couple atypique dont la gestion du magasin et des finances étonne. Le jugement a été mis en délibéré.

Soupçons d’emplois illégaux à la Région : Un procès au goût amer dont l’épilogue est attendu le 21 mai

Le procès de Didier Robert, ancien président de la Région Réunion, s’est conclu après d’intenses débats judiciaires sur des accusations d’emplois fictifs et de détournement de fonds. Le délibéré de cette affaire politico-judiciaire, très attendu, sera rendu le 21 mai, en pleine période électorale. Les avocats des 11 prévenus, vent debout contre l’enquête préliminaire menée par des policiers spécialisés en la matière, ont unanimement plaidé la relaxe.

Soupçons d’emplois illégaux à la Région : « La fin ne saurait justifier les moyens »

La procureure de la République Véronique Denizot a demandé la condamnation des 11 prévenus de l’affaire des emplois présumés illégaux de la Région, ce jeudi lors de la quatrième journée du procès, une peine de 5 ans d’inéligibilité étant notamment requise pour l’ancien président Didier Robert, visé pour prise illégale d’intérêts et détournement de fonds . L’actuelle mandature de la Région, partie civile du procès, a demandé un préjudice à hauteur de 1,5 million correspondant à la somme des salaires versés aux huit conseillers techniques poursuivis pour recel.