Revenir à la rubrique : Faits divers

Un autocar tente l’impossible dans les rampes Ozoux

Il fallait oser. Tous les automobilistes qui empruntent les célèbres rampes Ozoux qui mènent vers le quartier du Bas de la Rivière à Saint-Denis le confirmeront, il faut souvent s'y reprendre à deux fois pour franchir chaque virage. Ce jeudi vers 10H30, c'est un autocar qui a tenté le coup, avec le succès que l'on pouvait deviner.

Ecrit par – le jeudi 10 juin 2021 à 12H38

 

Partager cet article
Thèmes :
S’abonner
Notification pour
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires

Dans la même rubrique

Exploitation en zone inondable : 10.000 euros d’amende requis contre Jean-Bernard Caroupaye

Exploitation en zone inondable : 10.000 euros d’amende requis contre Jean-Bernard Caroupaye

Les tourments judiciaires du transporteur ne sont toujours pas terminés. L’affaire rejugée en appel ce jeudi 21 septembre concerne sa société de démolition et de recyclage située en zone rouge inondable. La justice lui reproche d’avoir exploité sur une zone interdite et d’y avoir effectué des travaux et des aménagements sans autorisation. La peine requise à son encontre a été doublée.

Saint-Pierre : Le Mr. Sécurité de Mr. Bricolage jugé pour escroquerie

Saint-Pierre : Le Mr. Sécurité de Mr. Bricolage jugé pour escroquerie

Aujourd’hui, Mr. Bricolage a fait le nécessaire pour que ce type d’escroquerie n’ait plus cours au sein de ses magasins. Cinq anciens employés ont comparu ce jeudi devant le tribunal correctionnel de Saint-Pierre jugés pour escroquerie. Durant près de deux ans, Richard * a utilisé frauduleusement des avoirs et des remboursements du magasin.

Harcèlement sexuel au collège Lacaussade : « Ce sont des menteuses »

Harcèlement sexuel au collège Lacaussade : « Ce sont des menteuses »

Une cabale, un ramassis de mensonges, une instrumentalisation du rectorat, telles ont été les explications de l’ancien principal du collège Lacaussade à Salazie, poursuivi en appel pour harcèlement sexuel et agression sexuelle par d’anciennes collaboratrices. Le nombre de ces dernières a largement diminué depuis le début d’une procédure bien trop longue qui est le reflet de la difficulté qu’ont les femmes à libérer leur parole et obtenir justice.