Comme souvent dans les affaires de trafic de stupéfiants, un trentenaire saint-andréen a tenté de faire croire que les produits retrouvés à son domicile, les échanges téléphoniques avec des consommateurs et les mouvements suspects sur son compte en banque étaient liés à ses addictions. Il devra s’en expliquer auprès des magistrats du tribunal correctionnel du Nord dans quelques mois.
