Les agriculteurs devant faire leur déclaration entre le 1er avril jusqu’au 15 mai, « il était nécessaire d’aller chercher les informations auprès de la DAAF ». Pour Jean-Michel Moutama, « le travail d’accompagnement des administratifs et en particulier ceux de la Chambre consulaire n’a pas été fait ».
Le président de la CGPER regrette également que les éléments pris en compte pour rédiger la PAC, n’aient pas été correctement remontés en réunion inter-DOM « ce qui aurait évité la disparition de ces aides par exemple ».