Après un long délibéré, Hakim Karki, écroué en décembre 2022, a fait appel de sa condamnation. La cour d’assises du Val-de-Marne a considéré que les déclarations de la victime étaient sincères tout au long de la procédure, contrairement à celles de l’accusé, jugées évolutives.
Hakim Karki, également accusé d’imposer une relation sexuelle forcée, affirme être victime d’une machination visant à l’éloigner des affaires sensibles de l’île, notamment celles impliquant le groupe Lafarge. Il réfute les accusations et parle d’un acte consenti avec la plaignante.
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