L'Agence régionale de la biodiversité dont elle la charge a pour vocation d'intervenir aussi bien dans les milieux terrestres qu'aquatiques ou marins en apportant une plus-value opérationnelle en matière de coordination, d'appui, et de mise en œuvre de la Stratégie régionale pour la biodiversité. La structure a également à sa charge l'élaboration de stratégies ou projets en cohérence avec cette stratégie régionale en matière de biodiversité, dans le champ de compétences de l'Office français de la biodiversité (à l'exclusion des missions de police de l'environnement et de délivrance du permis de chasser).
Il s'agira en effet pour l'ARB de participer avec l'ensemble des acteurs locaux à la mise en commun et à la valorisation et la restauration de la biodiversité réunionnaise. Cela passera notamment par une meilleure diffusion des données récoltées, au renfort de l'action publique régionale en matière de préservation, à la lutte contre les espèces exotiques envahissantes (EEE) ou encore à la restauration des milieux naturels et l'intégration des enjeux de biodiversité dans le développement du territoire.
Notre territoire possède une exceptionnelle biodiversité, lui valant son classement comme bien du Patrimoine Mondial de l'humanité par l'UNESCO (40% de La Réunion classée). Un état des lieux, réalisé de juin 2020 à décembre 2020, a permis de dégager un diagnostic sur l'état de la connaissance et de la conservation de la biodiversité réunionnaise. Pour rappel, 42 % du territoire de notre île est situé dans le cœur du Parc National de La Réunion pour la beauté de ses paysages et la richesse exceptionnelle de sa biodiversité. Une biodiversité locale saluée mondialement mais qui fait face à d'énormes défis entre forte dynamique de développement et de multiples pressions sur la biodiversité : espèces exotiques envahissantes, pollutions ou encore artificialisation des sols.
Il s'agira en effet pour l'ARB de participer avec l'ensemble des acteurs locaux à la mise en commun et à la valorisation et la restauration de la biodiversité réunionnaise. Cela passera notamment par une meilleure diffusion des données récoltées, au renfort de l'action publique régionale en matière de préservation, à la lutte contre les espèces exotiques envahissantes (EEE) ou encore à la restauration des milieux naturels et l'intégration des enjeux de biodiversité dans le développement du territoire.
Notre territoire possède une exceptionnelle biodiversité, lui valant son classement comme bien du Patrimoine Mondial de l'humanité par l'UNESCO (40% de La Réunion classée). Un état des lieux, réalisé de juin 2020 à décembre 2020, a permis de dégager un diagnostic sur l'état de la connaissance et de la conservation de la biodiversité réunionnaise. Pour rappel, 42 % du territoire de notre île est situé dans le cœur du Parc National de La Réunion pour la beauté de ses paysages et la richesse exceptionnelle de sa biodiversité. Une biodiversité locale saluée mondialement mais qui fait face à d'énormes défis entre forte dynamique de développement et de multiples pressions sur la biodiversité : espèces exotiques envahissantes, pollutions ou encore artificialisation des sols.
60 millions d'euros investis ces 10 dernières années pour la biodiversité locale
Outre l'étude des impacts sur la biodiversité locale, l'état des lieux a aussi fait ressortir une cartographie des acteurs de la biodiversité ainsi que leurs rôles et compétences. En matière de financement, les trois principales sources locales de financement sont : l'Etat, le Conseil régional et le Conseil départemental, sans oublier l'Europe via ses fonds FEDER ou FEADER.
Aussi, au moins 60 millions d'euros ont été investis à La Réunion pour la biodiversité pour environ 67 projets ces dix dernières années.
Il est à noter que cette phase s'est accompagnée d'une analyse AFOM (avantage, faiblesse, opportunité, menace) pour la biodiversité de l'ile qui a permis de dégager des opportunités telles que la création d'une ARB "sur mesure" et contextualisée pour La Réunion.
Ce point presse tombait à point nommé pour les deux femmes politiques après l'épisode de la non-attribution de la subvention régionale de près de 3 millions d'euros pour l'aménagement du square Labourdonnais et le déplacement de la statue éponyme. "Je souhaite qu'il y ait beaucoup de persévérance, d'endurance, de persuasion pour que cette agence réussisse", a martelé la présidente de Région, qui dit "avoir toute confiance" en la maire de Saint-Denis dans son rôle d'ambassadrice de la biodiversité. Pas de doute à avoir pour la principale intéressée qui a insisté sur le caractère collectif de la nouvelle entité. "À chaque fois que le collectif est là, nous sommes là", assure la vice-présidente de la Région.
Outre l'étude des impacts sur la biodiversité locale, l'état des lieux a aussi fait ressortir une cartographie des acteurs de la biodiversité ainsi que leurs rôles et compétences. En matière de financement, les trois principales sources locales de financement sont : l'Etat, le Conseil régional et le Conseil départemental, sans oublier l'Europe via ses fonds FEDER ou FEADER.
Aussi, au moins 60 millions d'euros ont été investis à La Réunion pour la biodiversité pour environ 67 projets ces dix dernières années.
Il est à noter que cette phase s'est accompagnée d'une analyse AFOM (avantage, faiblesse, opportunité, menace) pour la biodiversité de l'ile qui a permis de dégager des opportunités telles que la création d'une ARB "sur mesure" et contextualisée pour La Réunion.
Ce point presse tombait à point nommé pour les deux femmes politiques après l'épisode de la non-attribution de la subvention régionale de près de 3 millions d'euros pour l'aménagement du square Labourdonnais et le déplacement de la statue éponyme. "Je souhaite qu'il y ait beaucoup de persévérance, d'endurance, de persuasion pour que cette agence réussisse", a martelé la présidente de Région, qui dit "avoir toute confiance" en la maire de Saint-Denis dans son rôle d'ambassadrice de la biodiversité. Pas de doute à avoir pour la principale intéressée qui a insisté sur le caractère collectif de la nouvelle entité. "À chaque fois que le collectif est là, nous sommes là", assure la vice-présidente de la Région.
