Assiste-t-on au premier scandale du football féminin ? Au moment où des noms comme Amandine Henry, Wendy Renard ou Valérie Gauvin commencent à être connus de tous les amateurs du football hexagonal, la réputation du football féminin d’être resté un milieu sain, en comparaison aux hommes, risque de tomber à l’eau.
Ce mercredi, la joueuse Aminata Diallo a été arrêtée et placée en garde à vue par les enquêteurs de la brigade de répression du banditisme de la police judiciaire de Versailles. Ces derniers la soupçonnent d’avoir joué un rôle dans l’agression de sa coéquipière en club et en équipe de France, Kheira Hamraoui. La suspecte est en garde à vue pour violences volontaires avec plusieurs circonstances aggravantes comme la préméditation.
Un guet-apens prémédité ?
Les faits se sont produits le 4 novembre. Le PSG organisait une soirée pour les joueuses. Au moment du départ, les deux femmes étaient rentrées ensemble en voiture. Au moment de leur arrivée chez Kheira Hamraoui, deux hommes encagoulés ont fait irruption. Ils ont sorti la victime de l’habitacle avant de la frapper à coups de barre de fer au niveau des jambes.
Transportée à l’hôpital, Hamroui a reçu des points de suture aux mains et aux jambes. Les enquêteurs privilégient la piste de la rivalité interne. Les deux joueuses évoluent au même poste et sont en concurrence tant en club qu’en sélection. Surtout, les enquêteurs rejettent le motif crapuleux de l’affaire puisque les agresseurs sont repartis sans dérober quoi que ce soit.
Du côté du PSG, on affirme aider les enquêteurs à faire toute la lumière. Le club a publié le communiqué suivant : "Depuis jeudi 4 novembre au soir, le club a pris toutes les dispositions nécessaires pour garantir la santé, le bien-être et la sécurité de ses joueuses. Le Paris Saint-Germain collabore avec le SRPJ de Versailles pour faire toute la lumière sur les faits. Le club est attentif au déroulement de la procédure et étudiera les suites à y donner."
Ce mercredi, la joueuse Aminata Diallo a été arrêtée et placée en garde à vue par les enquêteurs de la brigade de répression du banditisme de la police judiciaire de Versailles. Ces derniers la soupçonnent d’avoir joué un rôle dans l’agression de sa coéquipière en club et en équipe de France, Kheira Hamraoui. La suspecte est en garde à vue pour violences volontaires avec plusieurs circonstances aggravantes comme la préméditation.
Un guet-apens prémédité ?
Les faits se sont produits le 4 novembre. Le PSG organisait une soirée pour les joueuses. Au moment du départ, les deux femmes étaient rentrées ensemble en voiture. Au moment de leur arrivée chez Kheira Hamraoui, deux hommes encagoulés ont fait irruption. Ils ont sorti la victime de l’habitacle avant de la frapper à coups de barre de fer au niveau des jambes.
Transportée à l’hôpital, Hamroui a reçu des points de suture aux mains et aux jambes. Les enquêteurs privilégient la piste de la rivalité interne. Les deux joueuses évoluent au même poste et sont en concurrence tant en club qu’en sélection. Surtout, les enquêteurs rejettent le motif crapuleux de l’affaire puisque les agresseurs sont repartis sans dérober quoi que ce soit.
Du côté du PSG, on affirme aider les enquêteurs à faire toute la lumière. Le club a publié le communiqué suivant : "Depuis jeudi 4 novembre au soir, le club a pris toutes les dispositions nécessaires pour garantir la santé, le bien-être et la sécurité de ses joueuses. Le Paris Saint-Germain collabore avec le SRPJ de Versailles pour faire toute la lumière sur les faits. Le club est attentif au déroulement de la procédure et étudiera les suites à y donner."