Les conflits de voisinage sont malheureusement chose commune. Mais on ne s’attend pas souvent à ce qu’il y ait de la violence et certainement pas un risque de mort. Mais à Saint-Denis, un soir de juillet dernier, la police a retrouvé un homme ensanglanté au sol souffrant de deux coups de tournevis. Gravement blessé au thorax et le poumon endommagé, il est transporté en urgence à l’hôpital.
Pour cause : le frère de la victime qui aurait, saoul, uriné sur la voiture des voisins. Et là tout le monde se met à se disputer puis à se battre. L’auteur des coups de tournevis assure avoir été roué de violents coups de poing. Ne sachant comment se défendre, il serait parvenu à saisir un tournevis dans son scooter et à "piquer" la victime à deux reprises. "Je me suis senti en danger, c’est par survie que j’ai fait ça, je ne voulais pas le tuer", assure l’homme de 37 ans.
Si les trois autres prévenus ont été relaxés, l’auteur des coups de tournevis, dont le casier judiciaire comprend 18 mentions, a été condamné à 18 mois de prison avec sursis."Étant jeune, j’ai fait de la prison et perdu des années de ma vie. Aujourd’hui je fais tout pour me racheter auprès de la société". En effet, cela faisait 8 ans que la justice n’avait pas eu affaire à lui. La justice lui laisse donc une dernière chance.
Pour cause : le frère de la victime qui aurait, saoul, uriné sur la voiture des voisins. Et là tout le monde se met à se disputer puis à se battre. L’auteur des coups de tournevis assure avoir été roué de violents coups de poing. Ne sachant comment se défendre, il serait parvenu à saisir un tournevis dans son scooter et à "piquer" la victime à deux reprises. "Je me suis senti en danger, c’est par survie que j’ai fait ça, je ne voulais pas le tuer", assure l’homme de 37 ans.
Si les trois autres prévenus ont été relaxés, l’auteur des coups de tournevis, dont le casier judiciaire comprend 18 mentions, a été condamné à 18 mois de prison avec sursis."Étant jeune, j’ai fait de la prison et perdu des années de ma vie. Aujourd’hui je fais tout pour me racheter auprès de la société". En effet, cela faisait 8 ans que la justice n’avait pas eu affaire à lui. La justice lui laisse donc une dernière chance.