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Revue de presse nationale du 16 octobre 2014

À la Une de nombreux quotidiens, les nouvelles coupes budgétaires à venir dans la Défense. Pour Le Figaro, les armées sont « la cible privilégiée des économies budgétaires », « l’armée rabote ses troupes lorraines », écrit de son côté Le Républicain Lorrain, tandis que Var-Matin rappelle qu’à Toulon, « la Défense perd 400 postes ».     Autre titre à […]

Ecrit par S.I – le jeudi 16 octobre 2014 à 10H55

À la Une de nombreux quotidiens, les nouvelles coupes budgétaires à venir dans la Défense. Pour Le Figaro, les armées sont « la cible privilégiée des économies budgétaires », « l’armée rabote ses troupes lorraines », écrit de son côté Le Républicain Lorrain, tandis que Var-Matin rappelle qu’à Toulon, « la Défense perd 400 postes ».
 

 

Revue de presse nationale du 16 octobre 2014Autre titre à la Une, les propositions d’Emmanuel Macron pour relancer l’activité économique du pays. Le ministre de l’Économie a déclaré hier qu’il voulait « guérir » la France de ses trois maladies, à savoir la défiance, la complexité et les corporatismes. Pour Le Monde, le projet de loi du ministre est une véritable « feuille de route libérale ». L’Humanité est encore plus dur avec Emmanuel Macron et estime que son projet est « 100% réactionnaire ».
 

 

Libération revient sur l’éviction d’Henri Proglio à la tête d’EDF (« Coupure de réseaux »), qui marque « la fin d’un système mêlant amitiés politiques et industrielles ».
 

 

Charlie Hebdo revient cette semaine sur la  « zemmourisation de la société », formule employée hier par Jean-Christophe Cambadélis, qui s’inquiète que les thèses développées par le polémiste Eric Zemmour soient actuellement « majoritaires dans notre société ».

Du côté du Canard enchaîné, on titre sur la présentation du budget 2015 de la France devant la Commission européenne. Pour le journal satirique, « Bruxelles décerne à Sapin et Macron le prix ‘nos brêles’ de l’économie ». Le Canard revient également sur les piques envoyées par Nicolas Sarkozy à l’encontre de deux de ses anciens ministres, Hervé Mariton et Bruno Le Maire, désormais ses rivaux pour la présidence de l’UMP.

 

 

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