« Qu’on nous libère la plage ! Quelles que soient les excuses qu’on puisse nous dire, comme quoi il s’agit d’une zone économique. Je pense que les Réunionnais de coeur et d’adoption ont à coeur, au contraire, de préserver ces plages et de défendre ce littoral et de rend a nou la plage. Et la dernière goutte qui fait déborder le vase c’est qu’on ne peut pas utiliser un restaurant qui est soi-disant fait pour de la restauration rapide comme boîte de nuit trois ou quatre fois par semaine, avec des bruits insupportables pour le voisinage, qui sont des gens qui ne sont pas des nantis, qui sont des gens qui ont travaillé toute leur vie pour avoir une maison, qui sont des anciens instituteurs pour la plupart, qui ont un certain âge et qui ont besoin d’un minimum de repos et de calme », argumente Karl Bellon.