Une soixantaine de marins malgaches embauchés sur les navires de l'armement Enez du groupe Réunimer, par une société de “manning” malgache Extramar, ont protesté contre des conditions de vie qu'ils jugent indécentes.
"L'un des marins, représenté par Me Joseph Breham, a décidé de porter plainte auprès du procureur de la République début mai", souligne le JIR.
Contrairement aux marins français, les marins malgaches ne peuvent pas rentrer chez eux voir leur famille notamment car ils ne touchent pas de congés payés. Bien que certains soient là depuis plus de 15 ans, ils ne disposent que d'un visa de transit leur permettant d'aller de l'aéroport au bateau.
Or les conditions de vie, d'hygiène et de confort au sein de ces navires laissent plus qu'à désirer. "Ils n'ont pas d'eau courante, de draps et doivent se laver dans un seau", confie le JIR. Malgré les nombreux signaux d'alerte, aucune action n'a été faite de la part de la DIECCTE.
"Sébastien Camus, président de Réunimer, conteste formellement toutes ces accusations et parle de 'règlement de compte' entre le Comité des pêches et Réunimer (membre de l'interprofession Aripa). Il entend porter plainte pour dénonciation calomnieuse." Il assure être en règle et qu'aucune différenciation n’a lieu entre marins français et marins malgaches.
"L'un des marins, représenté par Me Joseph Breham, a décidé de porter plainte auprès du procureur de la République début mai", souligne le JIR.
Contrairement aux marins français, les marins malgaches ne peuvent pas rentrer chez eux voir leur famille notamment car ils ne touchent pas de congés payés. Bien que certains soient là depuis plus de 15 ans, ils ne disposent que d'un visa de transit leur permettant d'aller de l'aéroport au bateau.
Or les conditions de vie, d'hygiène et de confort au sein de ces navires laissent plus qu'à désirer. "Ils n'ont pas d'eau courante, de draps et doivent se laver dans un seau", confie le JIR. Malgré les nombreux signaux d'alerte, aucune action n'a été faite de la part de la DIECCTE.
"Sébastien Camus, président de Réunimer, conteste formellement toutes ces accusations et parle de 'règlement de compte' entre le Comité des pêches et Réunimer (membre de l'interprofession Aripa). Il entend porter plainte pour dénonciation calomnieuse." Il assure être en règle et qu'aucune différenciation n’a lieu entre marins français et marins malgaches.