Les gendarmes décident alors d’envoyer deux patrouilles, une de Sainte-Rose et l’autre de Saint-Benoit afin d’arriver rapidement sur les lieux pour le stopper le plus rapidement possible avant son passage à l’acte. Lorsqu’ils arrivent au pont de la Rivière de l’Est, il est déjà en train d’enjamber le garde-corps. Avant de s’avancer seul près de la rambarde, il venait de confier le scooter à son fils.
Les militaires parviennent à l’attraper et à le sécuriser in extremis. Il est ensuite placé en garde à vue pour des violences sur conjoint.
En attendant qu’il soit jugé en audience correctionnelle au mois d’avril, il a été ordonné une expertise psychiatrique et un maintien en détention.