Les deux prévenus à la tête d’un réseau de femmes dont ils monnayaient les charmes via des annonces sur les réseaux sociaux avaient souhaité un délai avant d’être jugés. Ces parents de quatre enfants âgés de 6 à 10 ans et dont les principaux revenus dépendaient des prestations sociales ont été envoyés derrière les barreaux pour plusieurs années. La décision du tribunal est contestée en appel.
