Elle est soupçonnée d’escroquerie à grande échelle. Catherine Techer fait part de son mal-être sur les réseaux sociaux alors qu’elle est assignée à résidence, sous bracelet électronique, depuis deux mois et demi désormais.
La Réunionnaise est soupçonnée d’avoir escroqué des centaines de personnes, aussi bien en France qu'en Belgique, pour la bagatelle de plus de 3 millions d’euros.
Le 28 juillet dernier, les autorités d'Andorre passent à l’action. Elles procèdent à l’interpellation de Catherine Techer. Son domicile est perquisitionné ainsi que le siège de la société de voyages "To the top" située à Andorre-la-Vieille. Lors de cette opération, divers documents et ordinateurs lui appartenant ont été saisis.
La Réunionnaise est soupçonnée d’avoir escroqué des centaines de personnes, aussi bien en France qu'en Belgique, pour la bagatelle de plus de 3 millions d’euros.
Le 28 juillet dernier, les autorités d'Andorre passent à l’action. Elles procèdent à l’interpellation de Catherine Techer. Son domicile est perquisitionné ainsi que le siège de la société de voyages "To the top" située à Andorre-la-Vieille. Lors de cette opération, divers documents et ordinateurs lui appartenant ont été saisis.

Le communiqué de la police locale, fin juillet, deux jours après l'interpellation de Catherine Techer
La police de la principauté d’Andorre soupçonne la française de 51 ans d’avoir mis en place un club privé de voyages reposant sur le système de pyramide de Ponzi.
Le système de parrainage à l’infini promettait ainsi aux nouveaux entrants de générer et percevoir des revenus en devenant à leur tour des VRP pour le réseau "MWR Life" dont Catherine Techer se présentait comme la general manager France.
"Vous pouvez ainsi choisir de ne travailler que quelques heures par jour, mais quand vous avez créé une équipe dans laquelle chacun travaille quelques heures par jour pour transformer ses rêves en réalité, vous créez un puissant effet de levier", indiquait le site de MWR Life afin d’attirer les futurs partenaires.
Aujourd'hui, en prenant la parole dans cette vidéo, Catherine Techer crie à l'injustice. "On m'a déjà jugée", doute-t-elle de l'enquête en cours en Andorre tout en appelant à l'aide. La mère de famille évoque notamment la blessure que représente pour elle d'être éloignée de son enfant de quatorze ans ainsi que de ses parents à l'île de La Réunion.
Le système de parrainage à l’infini promettait ainsi aux nouveaux entrants de générer et percevoir des revenus en devenant à leur tour des VRP pour le réseau "MWR Life" dont Catherine Techer se présentait comme la general manager France.
"Vous pouvez ainsi choisir de ne travailler que quelques heures par jour, mais quand vous avez créé une équipe dans laquelle chacun travaille quelques heures par jour pour transformer ses rêves en réalité, vous créez un puissant effet de levier", indiquait le site de MWR Life afin d’attirer les futurs partenaires.
Aujourd'hui, en prenant la parole dans cette vidéo, Catherine Techer crie à l'injustice. "On m'a déjà jugée", doute-t-elle de l'enquête en cours en Andorre tout en appelant à l'aide. La mère de famille évoque notamment la blessure que représente pour elle d'être éloignée de son enfant de quatorze ans ainsi que de ses parents à l'île de La Réunion.