Le communiqué de l’ARS :
A La Réunion, compte tenu des vacances scolaires, la campagne de vaccination contre les papillomavirus humains (HPV) auprès des collégiens de 5ème se déroulera à compter du 2 novembre 2023 sur deux périodes : de novembre à décembre 2023 pour la 1ère dose de vaccin et de mai à juin 2024 pour la deuxième dose.
Près de 14 000 collégiens au sein des 87 collèges sont potentiellement concernés. Ils pourront se faire vacciner gratuitement en milieu scolaire par des professionnels de santé, sur autorisation de leurs parents et munis de leur carnet de santé.
Ce 3 octobre 2023, Gérard Cotellon, directeur général de l’ARS et Pierre-François Mourier, recteur de région académique se sont rendus au collège Jules Reydellet à St-Denis, où une réunion d’information sur la campagne de vaccination HPV a été organisée à destination des familles.
Organisation et calendrier de la campagne de vaccination à La Réunion
3 centres de vaccination répartis par secteur géographique ont été mis en place pour le déploiement de la vaccination dans les collèges :
- centre de vaccination du CHU Nord pour les secteurs Nord/Est,
- centre de vaccination du CHOR pour le secteur Ouest,
- centre de vaccination CHU Sud pour le secteur Sud.
Dans chaque collège, la vaccination sera réalisée par une équipe de professionnels de santé placée sous la responsabilité d’un médecin.
Pour tous les élèves (filles et garçons) de 5 ème âgés de 11 à 14 ans, le schéma vaccinal complet de la vaccination HPV comprendra deux doses, à 6 mois d’intervalle au minimum :
- la 1ère dose sera administrée du 2 novembre au 15 décembre 2023 ;
- la 2ème dose en mai et juin 2024.
Les dates de passage des équipes de vaccination dans les établissements scolaires seront communiquées aux parents et élèves quelques jours avant, par sms et affichage dans les collèges.
Déroulement de la vaccination
A la rentrée d’août dernier, les parents des élèves âgés de 11 à 14 ans scolarisés en classe de 5ème ont été informés de la campagne de vaccination HPV et ont reçu un formulaire d’autorisation à retourner à l’établissement scolaire.
Le jour de la vaccination, les élèves devront se munir de leur carnet de santé.
La vaccination ne pourra pas se faire sans présentation du carnet de santé même avec l’autorisation parentale signée. Le carnet de santé est indispensable au médecin pour vérifier l’absence de contreindications à la vaccination. Il sera également indispensable, pour y consigner la date de l’injection réalisée ainsi que le numéro de lot du vaccin.
Après la vaccination, l’élève sera placé sous surveillance des soignants pendant un quart d’heure.
La vaccination contre les HPV prévient jusqu’à 90 % des infections HPV à l’origine de cancers
Les infections par les papillomavirus humains sont fréquentes au cours de la vie : 8 personnes sur 10 sont concernées à un moment de leur vie.
Si la majorité des infections disparaissent en quelques mois, certaines peuvent évoluer en verrues génitales (condylomes), ou en lésions précancéreuses et cancers.
L’Institut National du Cancer (INCa) estime que les HPV sont responsables de 6 400 cas de cancers par an en France : cancers du col de l’utérus, du vagin, de la vulve, de l’anus et de la sphère ORL.
Dans 60 % des cas, l’infection a lieu au début de la vie sexuelle. La protection conférée par la vaccination est maximale quand elle est faite avant l’entrée dans la vie sexuelle.
Malgré l’efficacité du vaccin, la couverture vaccinale en 2022 à La Réunion reste très insuffisante : pour un schéma vaccinal complet de 2 doses
- chez les jeunes filles : 14,1% à 16 ans
chez les jeunes garçons : 1,2% à 16 ans
contre 41,5% pour les filles et 8,5% pour les garçons en France hexagonale.
La vaccination est actuellement recommandée pour tous les adolescents de 11 à 14 ans, avec un rattrapage possible jusqu’à 19 ans.
Plus d’informations (les HPV, la vaccination, les outils de communication…) sur :
il ya des médecins , des professionnels de santé qui ne sont pas d’accord avec la publicité faite autour des cette démarche…
à quand une information libre et éclairée….
« Dans une brochure récente distribuée dans les collèges en cette rentrée 2023 « une vaccination sûre et efficace pour protéger mon enfant contre les cancers HPV » l’institut du cancer (INCA)1 2 fait une promotion mensongère du Gardasil pour appuyer la campagne de vaccination du gouvernement dont elle est le porte-parole et qui la finance.3
Voici ici des faits avérés qui démentent ses affirmations.
Le Gardasil n’a pas démontré d’efficacité contre les cancers prétendument et nouvellement dénommés HPVL’affirmation de l’INCA « il est efficace » est volontairement trompeuse en suggérant une efficacité anticancer qui reste un espoir peu vraisemblable.
À ce jour, le vaccin n’a montré qu’une efficacité réelle à court terme contre l’infection par les souches de HPV qu’il contient et les verrues génitales,
mais n’a jamais démontré qu’il pourrait prévenir le moindre cancer,
ce qui est d’ailleurs précisé dans la notice du vaccin.
Sur l’Australie, l’INCa ment en affirmant « l’efficacité de la vaccination contre les HPV est observée dans les pays où le nombre de jeunes adultes vaccinés est important, comme en Australie (réduction des cancers) ».
Pour le vérifier, il suffit de consulter le site de l’agence sanitaire australienne. https://www.aihw.gov.au/reports/cancer/cancer-data-in-australia/contents/cancer-incidence-by-age-visualisation, qui précise le nombre total de cancers et leur taux standardisé (Australian Standardised Rate ou ASR4). »
Je lis : »La vaccination contre les HPV prévient jusqu’à 90 % des infections HPV à l’origine de cancers » et non que le vaccin est efficace contre les cancers du col de l’utérus, du vagin, de la vulve, de l’anus et de la sphère ORL. Contentez-vous de lire ce qui est écrit et n’inventez pas. 😂😂😂
Nouvelle maladie mentale : la viromanie.
Le malade voit des virus partout et veut piquer tout le monde.
moi j’aurais sit la jiromanie… Il y’a qq’un qui se sent obligé de répondre à tous les coms, et c’est tjr le meme lol
Les vieux au Rivotril, les jeunes au gardasil…quel beau programme! Et avec ça des taux d autisme et d infertilité en constante hausse…elle est pas belle la vie? Et si tu veux pas attraper des maladies sexuellement transmissible, sans effet secondaire il reste l ‘abstinence ou la fidélité…à bon entendeur…
Avec les nouveaux prix Nobel attribués aux deux chercheurs en moins de 3 ans de test et pratique du « vaccin » ARNm, la politique de la santé publique, ne s’oriente-t-elle pas désormais plus vers le business imposé que de sa véritable vocation à laisser les praticiens SOIGNER en conscience librement? Faut-il s’étonner de cette dérive, la Big Pharma, n’a-t-elle pas financé « discrètement » moult campagnes électorales, congrès, études…, de la plupart des principaux dirigeants, donc tout retour sur investissement, ne serait-ce pas là,qu’un simple échange de bon procédé ? Dans ce cadre est-ce anormal que le HPV « protège à 95% »??? Un jour les masses populaires vont immanquablement se réveiller de cet effet MILGRAM…
Que penserait de cette attribution du Nobel santé 2023, ce jeune médecin Nantais décédé suite ,à injection d’ARNm ?
Chacun devrait lire la liste des effets secondaires sur la notice de GARDASIL.Ne compter pas sur votre médecin pour vous les énumérer dans le cadre d’une information libre et éclairée obligatoire avant tout acte médical.
Cette notice est accessible sur internet.Apres sa lecture ,chacun pourra prendre sa décision en son âme et conscience.
Élément essentiel que chacun doit avoir en tête.
Cette vaccination n’est pas obligatoire et par conséquent ,elle ne pourra pas entrainer des indemnités en cas d’effets secondaires graves.
L’injecteur doit avoir énoncé tous les effets secondaires potentiels au patient avant l’obtention du consentement .
Je ne suis pas certain que les parents seront convoqués dans les collèges pour en prendre connaissance le jour de vaccination de leur gamin.