La rixe est survenue dans la nuit de samedi à dimanche dans le foyer de la Croix-Rouge à Saint-Denis. Environ quinze personnes sont impliquées dans la bagarre qui aurait éclaté à cause des tensions entre réfugiés sri-lankais issus de communautés différentes.
Ivre, un des réfugiés sri-lankais Tamoul donne un coup de couteau à l'abdomen d'un Singalais. La cause de la dispute serait un différent communautaire. Les deux hommes sont à La Réunion depuis environ deux ans et vivent dans des foyers différents.
L'agresseur présumé devait être jugé ce mercredi pour des faits de violence avec usage d'une arme, le tout en état d'ivresse. Mais faute d'interprète, le procès a été renvoyé au 11 janvier.
L'avocat de l'accusé a demandé aux juges de le remettre en liberté surveillée jusqu'à la prochaine audience en argumentant que son client ne comprend pas le Français et qu'il était jusqu'alors inconnu des forces de l'ordre. Le réfugié tamoul avait par ailleurs reconnu avoir été alcoolisé au moment des faits et avait affirmé qu'il était prêt à suivre les règles imposées par un placement en contrôle judiciaire.
Mais le tribunal a jugé qu'il y avait un risque de réitération des faits et le réfugié restera donc en détention jusqu'à son procès l'année prochaine.
Ivre, un des réfugiés sri-lankais Tamoul donne un coup de couteau à l'abdomen d'un Singalais. La cause de la dispute serait un différent communautaire. Les deux hommes sont à La Réunion depuis environ deux ans et vivent dans des foyers différents.
L'agresseur présumé devait être jugé ce mercredi pour des faits de violence avec usage d'une arme, le tout en état d'ivresse. Mais faute d'interprète, le procès a été renvoyé au 11 janvier.
L'avocat de l'accusé a demandé aux juges de le remettre en liberté surveillée jusqu'à la prochaine audience en argumentant que son client ne comprend pas le Français et qu'il était jusqu'alors inconnu des forces de l'ordre. Le réfugié tamoul avait par ailleurs reconnu avoir été alcoolisé au moment des faits et avait affirmé qu'il était prêt à suivre les règles imposées par un placement en contrôle judiciaire.
Mais le tribunal a jugé qu'il y avait un risque de réitération des faits et le réfugié restera donc en détention jusqu'à son procès l'année prochaine.