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Yann de Prince : L’Etat a installé des récifs artificiels près des plages, qui ont attiré des requins

Yann de Prince, qui se fait depuis quelques semaines l'un des portes-paroles de la cause des surfeurs et des usagers de la mer, a publié une longue lettre sur sa page Facebook de laquelle il ressort qu'il accuse l'Etat d'avoir installé des récifs artificiels à proximité immédiate des plages et des lieux de baignade, alors qu'il était parfaitement conscient qu'ils allaient attirer des requins. Un document édifiant qu'il convient de lire intégralement. Nul doute qu'après la divulgation de ce document, que nous vous annoncions dans un de nos précédents articles, de nombreuses victimes ou leurs familles vont disposer de nouveaux moyens juridiques pour attaquer l'Etat.

Ecrit par zinfos974 – le mardi 27 juin 2017 à 22H29

Les représentants de l’Etat ont disposé des récifs artificiels sur la cote balnéaire de La Réunion en sachant et en reconnaissant qu’ils mettaient la vie des Réunionnais en danger. Ils savaient que ces récifs artificiels attireraient et sédentariseraient les requins bouledogues à proximité immédiate des pratiquants d’activités nautiques. Ils n’ont semble-t-il pas jugé nécessaire de consulter la population préalablement à l’installation de ces dispositifs, ni d’avertir les Réunionnais des risques qu’ils leur faisaient encourir, et ils ont sciemment exposé la vie des gens à un péril certain sans prendre la moindre disposition sérieuse pour les en prémunir.

Comme je l’avais annoncé la semaine dernière, je vous livre les termes de l’arrêté préfectoral n° 12-991/SG/DRCTCV, consultable en ligne sur le site de la Préfecture de La Réunion à l’adresse figurant à la fin de ce billet, duquel la responsabilité de l’Etat et de ses services ressort clairement dans la crise requin qui frappe très durement l’île de La Réunion, département français de l’océan Indien.

Que dit cet arrêté ?

L’Etat a approuvé et financé la création et l’installation de récifs artificiels tout au long de la côte ouest

En premier lieu, on y découvre que l’Etat a approuvé et financé la création et l’installation de récifs artificiels tout au long de la côte ouest de l’île dès 2008, là même où se déroulaient jusqu’alors sans problème particulier la très grande majorité des activités nautiques. Ces récifs, composés notamment de vieux poteaux EDF et de voussoirs (comprenez arches en béton armé) issus du chantier de basculement des eaux, sont disposés entre Le Port et l’Etang-Salé, à une profondeur comprise entre 10 et 26 mètres, à proximité immédiate des récifs et de la côte comme le montrent les schémas d’implantation joints en annexe de l’arrêté. Triste ironie du sort, c’est le sous-Préfet chargé de la cohésion sociale et de la jeunesse qui a signé ce funeste arrêté avec, sans surprise, l’avis favorable du Conseil scientifique de la Réserve marine (qui n’a plus rien de naturel) de La Réunion. L’histoire récente montre combien il aurait été difficile de faire pire en termes de destruction de la cohésion entre les Réunionnais.

Il est d’ailleurs très surprenant que des consultations publiques (que je n’ai pas trouvées) et des études très approfondies, vu la gravité des risques mortels connus, n’aient pas été organisées à l’occasion de ce projet, quand on sait par ailleurs qu’il a fallu plus de 7 années de tergiversations ridicules pour s’accorder entre services de l’Etat sur les modalités d’installation des toilettes publiques au volcan et quand chaque pose d’un nouveau poteau de la Nouvelle Route du Littoral donne lieu à des études et des débats sans fin sur de possibles effets potentiels sur toutes sortes d’algues et de mollusques. Aux yeux des représentants de l’Etat à La Réunion, le principe de précaution semble donc avoir une géométrie très variable selon qu’il s’agit d’installer une fosse sceptique au volcan, de protéger un mollusque ou bien de protéger des vies humaines.

En annexe 4 de cet arrêté, il est écrit ceci : « Impact sur le comportement des gros poissons prédateurs : l’effet concentrateur des récifs artificiels sur les petits poissons pélagiques peut éventuellement conduire, dans certaines conditions et à certaines périodes, à la concentration des prédateurs naturels de ces espèces, comme les grosses carangues et les requins côtiers ; La sédentarisation des gros requins côtiers (notamment les requins bouledogues) du fait de la présence de récifs artificiels, augmentant ainsi potentiellement le risque « requins » pour les activités nautiques humaines alentours, doit être particulièrement étudiée dans le contexte actuel réunionnais« .

Les juristes apprécieront et auront mesuré sans peine la portée de cette assertion dont il ressort que l’Etat savait pertinemment et parfaitement que sa décision d’installer des récifs artificiels à proximité des activités nautiques humaines exposerait immanquablement les pratiquants à un risque majeur dont on a malheureusement pu voir qu’il s’est concrétisé, de sorte que de nombreuses personnes sont mortes ou ont été mutilées suite à des attaques de requins.

Alors que le risque est reconnu sans ambiguïté, il est seulement envisagé « d’étudier », après coup, les conséquences de ces implantations en guise de « mesure de précaution ».

Les différents services de l’Etat étaient pleinement conscients et informés des risques qu’ils faisaient courir aux Réunionnais

Ces agissements sont particulièrement graves (et condamnables) dans la mesure où la mise en danger volontaire de la vie d’autrui est un acte délictuel pouvant donner lieu à des sanctions pénales, à plus forte raison lorsqu’il est commis par l’Etat dont la première des missions est précisément de protéger la vie de ses concitoyens.

Les responsables et les différents services de l’Etat étaient donc pleinement conscients et informés des risques qu’ils faisaient courir aux Réunionnais et c’est en parfaite connaissance de cause qu’ils ont agi.

Les victimes pourront poursuivre l’Etat

Les différentes victimes (qu’elles soient directes ou indirectes) de cette crise sont par conséquent fondées à engager des poursuites pénales à l’encontre des différents responsables de cette crise, ce qui ne manquera pas d’être fait et ce sur quoi je reviendrai car il est intolérable que les véritables responsables puissent continuer de rejeter leurs propres fautes sur les véritables victimes comme ils le font en les montrant du doigt, après les avoir exposées au danger.

Quels mensonges ! Quelles incohérences ! Quelle inconséquence coupable !

Toujours dans la même annexe, il est mentionné ceci : Pointe des Avirons, baie de La Possession : « Comportement des gros poissons prédateurs : les activités nautiques étant peu développées dans cette zone (planche à voile et kite-surf essentiellement), il n’est pas prévu de mesure particulière dans un premier temps sur ce site vis-à-vis de cet impact, mais cela pourrait l’être dans un deuxième temps en coordination avec le programme CHARC (pose d’une station d’écoute pour le suivi acoustique des requins marqués) » + « observations courantes de requins côtiers considérés comme dangereux (bouledogues, marteaux …)… »

Commentaire : D’une part, on découvre avec effroi et stupeur qu’au prétexte que les pratiquants seraient « peu nombreux » à cet endroit, l’Etat a jugé acceptable de mettre leur vie en danger sans les en avertir ni les protéger tout en reconnaissant l’observation courante de requins dangereux.

D’autre part, il apparaît une incohérence très forte et grave entre les raisonnements soutenus par l’Etat et ses administrations (notamment l’IRD) selon lesquels les requins bouledogues se déplaceraient parfois sur plusieurs centaines de kilomètres, et dans le même temps, le fait de déduire implicitement dans cet arrêté qu’au prétexte que les dispositifs seraient placés à seulement quelques encablures des lieux les plus fréquentés, ils ne présenteraient pas de risques pour les usagers. Autrement dit, selon les auteurs, les requins seraient capables d’aller de La Réunion à Madagascar mais il n’y aurait aucun risque qu’ils aillent de La Possession jusqu’à Boucan Canot ou bien encore des Avirons jusqu’à l’Etang-Salé ou Saint-Pierre. Quels mensonges ! Quelles incohérences ! Quelle inconséquence coupable !

Nouvel extrait du document : « Au-delà des 5 années de suivi obligatoire des récifs artificiels du fait de leur financement par des fonds européens, aucun suivi scientifique systématique n’est prévu : la très faible dynamique d’évolution sur les peuplements ichtyologiques (montrant essentiellement des tendances saisonnières d’arrivée et de départ de juvéniles de certaines espèces ou au contraire la stabilité de présence d’autres espèces) ne justifie pas qu’un effort d’échantillonnage aussi poussé soit entrepris à partir de 2013« .
Sans commentaire sinon qu’ils ont installé des dispositifs dangereux et qu’ils préconisent de « les oublier », à tel point d’ailleurs que certains d’entre eux que j’ai interrogés feignent d’en ignorer l’existence.

Il existait un récif artificiel concentrateur de requins bouledogues depuis 2008 à toute proximité des spots de surf de St-Leu !

Autre extrait accablant : « Baie de Saint-Leu : nouvel emplacement plus au large du récif artificiel existant immergé en 2008″… « Le récif artificiel de Saint-Leu sera déplacé plus au large, afin de l’éloigner des spots de surfs dits « La Cafrine » et « Gauche Saint-Leu ». Le récif artificiel ainsi déplacé sera utilisé comme point de fixation d’une station d’écoute des marques acoustiques dont seront équipés les requins marqués dans le cadre du projet CHARC. Une station d’écoute supplémentaire sera ainsi achetée dans le cadre budgétaire du présent projet« . Commentaire : On découvre donc qu’il existait un récif artificiel concentrateur de requins bouledogues depuis 2008 à toute proximité des spots de surf de St-Leu !

La découverte de ces faits donne donc un éclairage très particulier et particulièrement grave, en termes de responsabilités, aux attaques qui ont eu lieu dans la zone.

St-Paul : Les sites d’immersion sont surtout situés à proximité des zones de baignade et de surf parmi les plus populaires de la Réunion (Boucan Canot, Roches Noires)

Extrait relatif à la baie de Saint-Paul : « Comportement des gros poissons prédateurs : les activités nautiques sont assez développées dans la baie de Saint-Paul elle-même (voile, kayak etc. …) mais les sites d’immersion sont surtout situés à proximité des zones de baignade et de surf parmi les plus populaires de la Réunion (Boucan Canot, Roches Noires) ; de fait, la prise en compte du « risque requins » est essentielle dans la mise en œuvre du présent projet« .

Commentaire : on croit halluciner ! Que dire lorsque l’on découvre médusé que les auteurs se félicitent d’avoir placé ces récifs artificiels dont ils reconnaissent le caractère d’attraction des requins bouledogues à proximité immédiate des zones de baignade les plus populaires de l’île ?!

Chacun des Réunionnais peut dès lors mesurer à quel point ces personnes ont fait preuve d’une irresponsabilité incroyable ayant eu comme effet directe de causer la mort de plusieurs personnes. Et dire que les intéressés font toujours mine de rechercher les causes et de s’étonner de la recrudescence des attaques dans ces zones. C’est proprement scandaleux. Qu’ils soient punis. Qu’ils soient maudits !

Je vous livre un dernier extrait enfin : « Du fait de l’éloignement de la Pointe des Avirons des principales zones d’activité nautique, il n’est pas prévu de mesure particulière dans un premier temps, mais cela pourrait l’être dans un deuxième temps en coordination avec le programme CHARC (pose d’une station d’écoute pour le suivi acoustique des requins marqués)« . Traduction-extrapolation : l’Etat et les scientifiques, pleinement conscients d’attirer de dangereux prédateurs pour l’homme, tout en étant parfaitement conscients de n’avoir aucune connaissance ni aucune maîtrise sur les conséquences de leurs expérimentations diaboliques, ont placé les Réunionnais en situation de cobayes et n’ont rien trouvé de mieux pour les protéger que de pêcher des requins, les remettre à l’eau après les avoir équipés de balises, le tout pour les écouter aller et venir entre deux attaques mortelles.

Voilà la belle étude qui a été financée avec votre argent et dont nous avons tous été acteurs malgré nous, jouant le rôle de cobaye humain à l’insu de notre plein gré, comme disait l’autre.

Quelles conclusions, quelles suites, quelles actions ?

Les représentants de l’Etat français à La Réunion, l’IRD, la Réserve marine et son conseil (prétendument) scientifique, l’IFREMER, la DEAL et la DMSOI, soit un ensemble de structures toutes contrôlées par l’Etat, toutes citées dans ce document et directement impliquées dans cette crise, ont pris part à cette situation odieuse et inqualifiable qui a conduit à ce que des personnes soient attaquées, mutilées voire tuées lors d’attaques de requins en raison d’un risque créé de toutes pièces par ces derniers.

Quelle est belle leur « Réserve naturelle »…

Tous portent une responsabilité grave et très lourde qu’ils se sont évertués à nier ainsi qu’à dissimuler aux Réunionnais depuis de nombreuses années.

Ces pratiques irresponsables, coupables et indignes des fonctions qui leurs sont confiées, devront donner lieu à des poursuites judiciaires, administratives et pénales afin que leurs responsabilités soient démontrées et pour que le statut des victimes puisse enfin être reconnu, chose qui ne manquera pas d’être engagée très prochainement.

Ce premier document servira de base aux actions qui vont être conduites, étant entendu que les « sujets » ciguatera et Réserve marine, tout aussi scandaleux par ailleurs à l’éclairage de ce qui précède, suivront.

J’ai déjà eu l’occasion d’écrire, mais je le rappelle pour ceux d’entre vous qui ne le sauraient pas, que la Réserve marine de La Réunion n’a pu être constituée que parce qu’un rapport mensonger a été établi par les mêmes personnes, lesquelles ont commis l’exploit d’occulter totalement ne serait-ce que la possible présence de dangereux prédateurs.

La Réserve marine doit être remise en cause dans sa forme actuelle

L’existence même de la réserve marine dans sa forme actuelle doit intégralement être remise en cause, non pas pour remettre en cause la protection des récifs, mais afin que des personnes compétentes et de bonne foi, toutes qualités qui manquent aux actuels responsables, puissent rétablir l’équilibre qui prévalait avant l’arrivée de ces dangereux illuminés aux commandes des instances.

Outre les poursuites dont ils feront l’objet, l’Etat doit prendre la mesure de la gravité des actes de ses représentants et évincer sans délai tous les protagonistes concernés par cette crise, que ce soit directement ou indirectement, ne serait-ce qu’en vertu du sacro-saint principe de précaution dont il aime tant se prévaloir par ailleurs.

La commercialisation de la chair des requins bouledogues et tigres pêchés à La Réunion doit être rétablie sans délai. Cela fait trop longtemps qu’on nous raconte des salades sur ce sujet et qu’on ménage ces espèces non protégées sans raison valable.

J’aurai l’occasion de revenir prochainement sur une étude foireuse (de plus) que l’Etat publiera prochainement, selon ses dires, pour tenter de justifier le maintien de l’interdiction.

Au passage, il me revient que monsieur Marc Soria (IRD) serait à l’origine de la décision de cette interdiction. A la lumière des faits gravissimes qui précèdent, j’espère pour lui qu’il saura solidement justifier de tous ses actes le moment venu et je lui recommande vivement de se préparer sans plus attendre à le faire.

Par parallélisme des formes, au vu de la gravité de la situation et du niveau de risque que l’Etat ne pourra plus continuer de nier ou dissimuler, la plongée sous-marine doit être totalement interdite partout à La Réunion par l’Etat, et ce sans délai, ceci tout le temps que l’accès à l’océan sera interdit à La Réunion comme c’est le cas depuis 5 ans. L’Etat ne peut pas décemment continuer à nous dire d’une part qu’il existe un risque tel qu’il interdit l’accès à l’océan à tous, et d’autre part dans le même temps autoriser la plongée sous-marine pour des raisons obscures dont je serais curieux de connaître le fondement. Faute d’une telle décision de sa part, son incohérence ne manquera pas d’être relevée une fois de plus et, en cas d’accident qui surviendrait sur un plongeur sous-marin, sa responsabilité aggravée sera facile à établir.

Tous les récifs artificiels doivent être retirés

Puisque l’arrêté dont il est question ici le prévoit explicitement, tous les récifs artificiels doivent être retirés immédiatement vu le trouble et les dangers mortels qu’ils occasionnent.

N’en déplaise aux adorateurs de requins qui conserveront la possibilité d’aller les observer en Afrique du Sud et ailleurs si telle est leur passion, une action de pêche soutenue doit être entreprise afin que la zone balnéaire de La Réunion retrouve l’équilibre qui prévalait avant et que d’incapables et dangereux irresponsables ont brisé. Il en va de la responsabilité de l’Etat et il n’est plus tolérable qu’il continue de tergiverser comme il le fait, par exemple en ayant nommé un membre de la DEAL (service de l’Etat) à la direction du CRA, lequel se préoccupe davantage de protéger l’Etat et ses services, de nier les responsabilités de ses collègues plutôt que d’agir utilement comme il le devrait.

Il convient de signaler que la reprise de la commercialisation de ces espèces, ajoutée à une action de pêche soutenue, ne représentera au final que quelques centaines de requins quand des millions sont pêchés chaque jour dans l’indifférence la plus totale. Personne ne s’émeut ni ne réagit lorsque des espadons ou des dorades coryphènes sont pêchées, alors comment expliquer cette folie furieuse que l’Etat et ses représentants locaux ont réussi à cristalliser autour d’espèces non protégées qui dévorent nos concitoyens et amis ?

Nonobstant les nécessaires actions de régulation, il est indispensable de renforcer les mesures de protection des personnes (filets, vigies, drônes, sonars, drumlines etc…) de manière à permettre aux Réunionnais de pouvoir retrouver leur océan le plus tôt possible dans des conditions de sécurité normales, et ce tout le temps que la crise n’aura pas été réglée.

Enfin, je sais que certains l’ont déjà fait, dans de trop rares occasions selon moi, il appartient désormais à nos élus, en premier lieu les maires des communes concernées, à notre Président de Région, ainsi qu’à nos députés mais aussi en fin de compte à l’Etat français (le vrai, pas la bande des guignols locaux), de taper fermement du poing sur la table et de mettre un terme à cette folie furieuse qui empoisonne et contamine progressivement toute l’île et ses habitants.

Cette crise est très grave et elle nous rend mondialement tristement célèbres. Elle repose sur des monceaux de mensonges, de dissimulations, de gesticulations inutiles et d’études creuses et il est plus que temps que cela cesse.

Vous trouverez ci-dessous le lien vers l’arrêté concerné, téléchargeable sur le site de la préfecture et je profite de cette occasion pour remercier Fabienne M. qui m’en a révélé l’existence.

Yann de Prince

 

L’arrêté préfectoral dans son intégralité :

 

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