En raison des aménagements littoraux et de la sur-fréquentation, les activités humaines ont entraîné la quasi-disparition de la végétation indigène du littoral réunionnais.
Une opération pilote de réhabilitation des plages de ponte, conduite par Kélonia en 1999, a été suivie par un « retour » des femelles en ponte sur les plages réhabilitées 5 ans plus tard, puis de manière plus régulière les années suivantes, alors qu’aucune trace n’avait été observée depuis plus 50 ans sur ces plages.
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