Il explique par ailleurs que les difficultés que rencontrent les agriculteurs auront des conséquences plus larges : « Mais il faut qu’ils comprennent que ce n’est pas uniquement 2.500 planteurs qui sont concernés, mais l’avenir de toute une filière et qui fait vivre plus de 20.000 personnes à La Réunion. L’enjeu est là ! »
« Escuz’ a nou. Cé pa nout fot la mobilisation, cé la fot Tereos ! Si li té donn’ a nou nout zaffèr, nou té vien pa su la route Saint-Denis« , explique un planteur qui a garé son tracteur sur le Boulevard de la Providence.
Les éleveurs demandent à ce qu’un prix plancher soit désigné et qu’il leur apporte les « garanties économiques » nécessaires pour faire face à la crise mondiale qui a fait flamber les prix des matières premières.