Kamasucre [Chroniques Érotiques]

[KAMAZONE] #MonAssistanteCetteCoquine


Rédigé le Mardi 30 Mai 2017 | Par Ryo | Lu 2973 fois | 0 commentaire(s)



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La première fois que je l’avais croisée c’était dans les couloirs de l’entreprise que je venais de rejoindre. Sans être ce que les jeunes appellent vulgairement un avion de chasse elle avait énormément de charme, et bien que n’ayant pas des mensurations de mannequin, elle avait ce qu’il fallait où il fallait. Une jolie trentenaire typée indienne, de long cheveux, et un magnétisme qui vous explique pourquoi le Kama Sutra est originaire d’Inde.

Elle est devenue par la suite mon assistante, coupant court à mes velléités de charme. En effet, j’ai pour principe de ne pas mélanger vie privée et professionnelle. Bien qu’elle m’attirait, elle était ma subordonnée. Elle avait un humour certain, et n’avait pas froid aux yeux quand les collègues dérivaient sur les blagues salaces, rajoutant même son grain de sel.

Nos bureaux étaient contigus et je l’avais quasiment constamment dans mon champ de vision, et je me prenais parfois à laisser vaquer mon imagination… Il y avait entre nous, malgré un jeu de séduction subtil mais réel, beaucoup de respect et jamais nous n’avons ouvertement songé à transgresser ce cadre professionnel. Ou presque.

J’ai retrouvé une fois dans mon imprimante deux pages d’une histoire érotique, qui à la lecture m’avait fait bander comme il faut. Mais je ne les avais pas imprimés. Il s’agissait d’une histoire de collègues qui, au cours d’un voyage, s’étaient « rapprochés ». En regardant l’historique d’impression, via son adresse IP, j’ai su que c’était elle qui avait déposé ces pages. Je n’ai rien dit. Je ne savais pas si c’était intentionnel ou accidentel. Profitant de sa pause, je les ai juste mises sur son bureau, sans commenter. A son retour, je l’ai vue sourire, et elle a simplement rangé l’histoire dans son tiroir. Elle n’en a jamais fait mention par la suite.

Dernièrement, nous étions à une réunion. Ennuyante. Nous étions côte-à-côte au fond de la salle, à faire semblant d’écouter le directeur financier exposer sa réforme de l’organisation comptable. Je jouais sur mon téléphone et elle dessinait sur son bloc-notes. Un message d’un ami est arrivé. Par réflexe j’ai ouvert instantanément. Il s’agissait d’une vidéo de deux filles en train de s’occuper de la queue d’un mec. Une brune et une blonde. Heureusement que j’avais coupé le son, je me serais fait afficher devant les cadres de la boite.

Mon assistante en revanche a eu le temps de voir quelques secondes. Je me débattais tout affolé à fermer l’application lorsqu’elle m’arrêta, posant sa main sur la mienne. Elle me dit discrètement, avec une voix suave, à l’oreille : « Chef, je savais bien que tu étais un gros coquin. Laisse-moi voir la vidéo, c’est toujours plus intéressant de savoir qui va faire nos bilans. Et puis, j’en ai déjà vu assez pour être excitée… ». Elle avait les yeux brillants, sa main qui enserrait la mienne. J’avais ma queue super dure dans mon jean, et je m’imaginais un sexe tout dégoulinant à côté. La vidéo terminée, elle s’est éclipsée de la réunion en me disant rapidement « C’est malin chef, je dois aller enlever mon string maintenant, il est tout trempé ». Elle fit un clin d’œil et partit. J’avais chaud. Elle m’a donné chaud. Je l’aurais bien suivie et prise dans les toilettes. Mais toujours ce sacro-saint principe de séparation des cercles privées et professionnelles, et surtout d’abus de pouvoir.

A mon retour au bureau, j’avais une enveloppe du courrier interne. En l’ouvrant, j’ai eu le plaisir d’y trouver un string rouge mouillé. Je l’ai porté à mes narines afin d’en humer cette odeur de femme. Elle me regardait de son bureau avec un grand sourire mutin. Il était déjà la fin de journée. Elle est en partie en me lançant un « bonne soirée chef » traduisant son espièglerie. J’avoue être parti me soulager tout de suite après, son string humide dans ma main.

Quelques mois plus tard, elle a dû changer de poste. Je l’avais proposée à la direction pour qu’elle puisse évoluer au sein de la société. Elle allait devenir une chargée d’affaires, sur un autre site. C’était, en toute objectivité, mérité, même si je regrettais déjà de la laisser partir. On avait fait un pot pour son départ avec le service en fin d’après-midi et on était tous un peu grisés par l’alcool. Toutefois, j’avais un dossier à terminer et essayais de me concentrer dessus. Je fus étonné de la voir dans l’embrasure de la porte, pensant qu’elle était déjà rentrée vu qu’il était déjà tard. Elle me proposa de m’aider à finir mon dossier et vient s’asseoir sur le bord de mon bureau.

Elle avait une petite robe estivale qui lui arrivait à mi-cuisse. Tout en discutant elle la faisait discrètement remonter et j’avais une vue sur ses jolies jambes dont j’imaginais la jonction humide. Elle prit ma main et la posa sur sa cuisse.

- Je ne sais pas si c’est une bonne idée, lui dis-je.
- Je crois que ce qui se cache dans ton pantalon dit le contraire me répondit-elle. Et puis, je ne suis plus ton assistante maintenant… Elle remontait ma main de plus en plus haut, découvrant par la même occasion son intimité.
- J’en rêve depuis longtemps, j’ai résisté longtemps « chef ». Je viens prendre mon solde de tout compte, dit-elle les yeux dans les yeux avec une sensualité incroyable.

J’ai déconnecté mon cerveau. Je me suis mis à lui caresser la fente au travers de ce joli string blanc. Il était déjà humide.
- Moi aussi, j’en rêve. Tu es l’objet de bien de mes fantasmes, lui dis-je.

Je me levais et me mis entre ses jambes et l’embrassais à pleine bouche, me délectant de ses lèvres. Elle commençait à gémir en même temps que je lui caressais le clitoris. De son côté elle me malaxait le sexe à travers mon pantalon. Elle sortit ma verge rapidement, défaisant la ceinture. Assis dans mon fauteuil, elle était à mes pieds, et commença à me prendre en bouche et me faire une fellation d’experte, faisant tourner sa langue autour de mon gland et titillant le méat. Elle me prodiguait ce « soin » tout en me communiquant sa ferveur par son regard. Je sentais en moi la sève monter et je ne voulais pas venir trop vite. Je l’ai arrêtée et l’ai mise à ma place. Ses jolis petits seins baillaient et je me suis mis à les suçoter, à aspirer ses tétons. Ses gémissements témoignaient du bien que je lui faisais.

J’ai continué l’exploration de son corps, et me suis retrouvé entre ses cuisses. Elle était à la limite de l’indécence, les jambes écartées. Je me suis mis à la manger, écartant juste son string. Sa chatte était toute chaude et humide et je m’abreuvais à sa source. Ma langue est allée agacer son clitoris. J’adorais son goût. Elle m’imprimait le rythme en plaquant ma tête sur son entrejambe. Et elle s’est mise à trembler, serrant mon crâne dans cette prison de rêve, pour laisser exprimer sa jouissance. J’espérais qu’il ne reste personne dans le service, car elle était tout sauf discrète. Elle me releva et m’embrassa pour goûter à son jus.

Elle se débarrassa du reste de ses vêtements, je fis de même, et enfilai une protection. Elle était vraiment bandante. Elle se mit à califourchon, dos à moi, et de sa main positionna ma queue à l’entrée de son sexe. Alors qu’elle allait s’empaler, je la retins, ne faisant rentrer que mon gland. Je sortais et revenais. Elle soupirait d’aise et de frustration. Profitant d’une seconde d’attention, elle se laissa complètement retomber et sentit mon membre dans son entièreté. Elle bougeait sensuellement prenant le contrôle des opérations. Je pouvais lui caresser les seins, l’embrasser dans le cou, et même lui caresser le clito en même temps.

Devant tant d’ardeur, ce qui devait arriver arriva, la chaise céda sous nos ébats et nous nous sommes retrouvés par terre. Nous avons rigolé un bon coup devant le caractère cocasse de la situation. Cela ne nous a pas empêché de reprendre nos petites affaires. Elle s’est mise à quatre pattes, la croupe bien cambrée, et de manière non équivoque me demandait de la prendre. J’ai donc exécuté les volontés de la belle, variant l’intensité de ma pénétration, alternant les séquences tendres, et la bestialité. Oui, nous pratiquions la bête à deux dos, oui nous n’étions plus que deux animaux en rut. Je me suis aventuré à lui caresser l’anus ce à quoi elle me dit : « non pas là, plus tard ».

Je ne tenais plus, je me suis mis à accélérer au fond de sa matrice. Mon orgasme est arrivé d’un coup, j’avais l’impression de déverser des litres de foutre au fond de son utérus. Mon éjaculation a déclenché son orgasme à elle. Je sentais les parois de son vagin enserrer et masser ma tige. Je me suis retiré et elle est venue se blottir dans mes bras. A ce moment, nous avons entendu du bruit dans le couloir. Elle s’est rhabillée à toute vitesse, tout comme moi. Avec la peur d’être surpris, elle me laissa un baiser chaste, et partit en toute vitesse en me disant « à plus tard » augurant d’autres collaborations étroites …

Ryo
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[KAMASUCRE] Le lien vers le récap' de tous les épisodes juste ici : La totale
 
 



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