![[KAMAZONE] #EnBoite [KAMAZONE] #EnBoite](https://www.zinfos974.com/kamasucre/photo/art/default/14861262-20484633.jpg?v=1497878169)
Je déteste les boîtes. Musique douteuse, superficialité omniprésente.. Mais devant l’insistance de mes amis, j'accepte de les y conduire étant le seul possesseur d’un véhicule.
L’endroit était petit et bien rempli. Je dois reconnaître que le peuple présent ne me déplaisait pas. Dans cette ambiance, je pu remarquer beaucoup de courbes féminines s’agiter plus ou moins en rythme avec le dj. Cela me rappela ces quelques mois passés en compagnie de ma main droite en guise de vagin, mes besoins physiques s’aggravaient.
L’une de ces courbes était plus lente et régulière comme pour m’attirer dans son manège. Je la rejoins pensant retrouver mes amis au passage. La propriétaire de cette douce courbe me jaugeait du haut de ces talons, prolongement de trop longues jambes dans lesquelles mon regard se perdait déjà. Elle dut le remarquer puisqu’elle reprit son envoutement mais cette fois sous mes yeux hagards.
C’est là que j'aperçus mes amis au bar visiblement bien ambiancés. Gêné, je voulus les rejoindre, mais mademoiselle décida de tâter le produit en collant sa poitrine à l'étroit dans son bustier, contre ma chemise devenue transparente de transpiration.
Mais pourquoi ai-je mis un jean ! Elle sembla satisfaite de ce qu’elle trouva et par je ne sais quelle présence d’esprit je réussis à lui glisser un ‘’106 noire parking arrière, 15mins ‘’. A peine surprise elle me laissa rejoindre le bar et disparu dans la foule.
Ce fut le quart d’heure le plus long de ma vie. Je rejoins rapidement ma voiture, l’excitation rongeant mon pantalon. J’en profitai pour enfiler une capote hâtivement. Je crois qu’elle arriva en avance mais la suite occulte ce souvenir.
Elle entra par l'arrière de la voiture un sourire complice dans des lèvres suppliantes de désir. Sans un mot elle m'enfonce une langue dans le palais et entreprit d’ouvrir ma chemise. Je chercha alors un moyen de me débarrasser de cette fichue robe bustier, sans succès. Elle eut un rire nerveux et impatient et se défit du vêtement en peu de temps, sauvant alors ses deux seins de l’asphyxie. Je massai les deux victimes ma foi fort reconnaissants.
Elle me coucha tant bien que mal dans cet espace restreint et voulu explorer mon corps frêle et frémissant. Ses mains chaudes parcoururent mon torse seul vestige de mes années de gymnastique. Leur course devint plus effrénée lorsque je saisis à pleines mains ses seins doux, opulents et farineux.
Elle reprit son souffle pour remplacer ses mains par sa bouche humide de nos deux salive et libera mon érection. Elle soupira de joie en la voyant, puis l'entourer de ses lèvres curieuses m’arrachant un râle incontrôlé.
Cette sensation me hante encore. Elle me suce encore dans mes rêves, m’extirpant toute pensée par la bite. Me massant au passage mes testicules bien rebondis, elle lèche, aspire mon gland à n’en plus finir. Je dus l’arrêter sentant que je ne tiendrais pas longtemps ainsi. Elle voulut alors entourer mon érection d’acier d’une autre paire de lèvres, ce que je laissai faire, docile. Je sentis sa douce cyprine couler sur mon bas ventre à peine sa chevauchée entamée.
Son souffle devint entrecoupé de longs soupirs qui me faisaient frissonner. A chacun d’entre eux, j’attirais un peu plus ses cuisses vers moi. Je voulais sentir son fond en profitant de cette vue parfaite. Ses seins sautaient au moindre coup de reins, son visage se déformait de plaisir. Je voulus à mon tour parcourir ce corps de mes mains et commençai par sa bouche. J’y plongeai un pouce qu’elle mordit douloureusement. Je devais la punir.
“Retourne toi “ lui dis-je en agrippant sa gorge innocente. Surprise de ma soudaine autorité elle s'exécuta néanmoins en prenant bien soin de passer sa chute de reins devant mon visage. Je saisis d’abord ses hanches généreuses pour m’insérer avant de me rabattre sur ses seins qui remplissaient parfaitement mes mains. Elle mouillait tellement que j’avais peur de glisser.
Elle commença à gémir pour mon plus grand plaisir. Je l’aidai en pressant son bouton, l’autre main sur sa nuque. Ses lèvres pleuraient de cyprine. J’allais devoir changer de housses
Ma transpiration se mêla à sa mouille ainsi qu’à d’autres liquides dont seul le corps humain a le secret. Je finis par jouir en trois giclées dans un soupir qui m’étais inhabituel tandis qu’elle continuait de frotter ses fesses sur moi. Je me devais de la finir ne serait-ce que par galanterie. Je passai non sans mal ses jambes sur mes épaules pour lui montrer ma gratitude. Elle avait un goût divin, qui m’inondait la bouche.
Je léchai ensuite le plus lentement possible sa vulve puis son clitoris. Elle adorait ! Elle me le démontra par de puissants cris qui devint plus aigus et rythmé quand je limai son clitoris de ma langue. Son orgasme explosa ainsi, ses jambes tremblaient dans cette position plutôt incongrue, mes épaules s’en souviennent.
Je devrais lui demander son prénom...
Charlotte
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