
Vous aussi, envoyez-moi vos textes (via Facebook, par message privé)
Plus je le regardais , plus je m'interrogeais. Qu'est ce qu' il a dû faire avant dans sa vie pour qu' aujourd'hui il dévoue sa vie aux autres ? Assise parmi les autres, j'écoutais. Grand, clair , les yeux verts on pariait avec Molly qu' il devait être pompier. Il s' est présenté, il était pompier, aujourd'hui présent pour nous former aux gestes de premier secours. Les présentations etaient faites . Ravie de te rencontrer Guillaume . J' ecoutais , j'apprenais mais je ne pouvais pas m'empêcher de tenir son regard. Je le voulais .
L'imaginer juste en uniforme, me donnait des frissons. Ma formation de quelques jours etait terminé. On bavardait en fin de journée. Il me disait que j'avais les compétences pour etre volontaire si je le souhaitais. En y pensant, je me disais, je suis parfaitement volontaire à être prise par toi pendant les missions. Et mon envie de le vouloir augmentait encore. Je passais par là, non loin du lieu de formation. Je devais acheter des fournitures de pâtisseries pour une amie. Je l'ai vu passer, seul. Il devait sans doute aller se chercher de quoi déjeuner.
Et moi mon envie de faire de lui mon déjeuner était encore là. Comme une mission à valider à tout prix. Je le saluais en le souriant timidement. On bavardait tranquillement, de mise en pratique, de la pluie et du beau temps. Je suis assise assez décontractée sur le petit perron en béton a côté de la salle , le côté ombragé. Il fit de même . On continuait de parler . Tantôt je souriais en penchant la tête sur le côté. En moi , deux Mareen se battait pour prendre part à la lumière. Une Mareen qui n'avait pas froid aux yeux et l' autre Mareen la romantique, la bonne amie. Elle s'interchangeait . Le temps de quelques secondes que la Mareen coquine était partie , Guillaume était accolé à mes lèvres. Je lui rendit son baiser bien évidemment. Au fond de moi, j'entendais, vas y Mareen il est à toi !
Un baiser entraînant un autre, il m' emmena vers sa voiture. Garée derriere le bâtiment, il n'y avait aucune visibilité côté route. Il y avait juste une porte exterieure que quelques stagiaires empruntaient parfois. J' etais sur lui, j'avais chaud et je me laissais volontiers enlever ce qui était superflu , ma chemise, mon jean... Je le pris en main, il etait dur et me sentait ressentir que ma compagnie lui plaisait . On s' embrassait, se caressait.
Ses mains expertes m' entouraient la taille et remontaient petit à petit jusqu' à mes seins . Cambrée sur lui, je continuais à me frotter à lui. Mes lèvres quittaient ses lèvres pour descendre à son cou , pour aller ensuite à son torse , pour aller ensuite à son sexe. Gourmande, je décidai de le gouter à pleine bouche. De haut en bas, la langue en mouvement circulaire. Plus j'aspirais à lui faire plaisir, plus je l'entendais gémir, la main dans les cheveux.
Ça lui plaisait ce petit jeu, et à moi aussi. Tirant sur mes cheveux, il le fit remonter vers son visage. L' autre main attrapa vivement mes fesses, et glissa furtivement vers mon intimité. Pendant qu'il m'embrassait, je sentais deux doigts entrait en moi . En gémissant sous son oreille gauche, je me laissais faire. Il tenait encore mes cheveux de la main droite. Et puis il s'insérait, plus il tirait sur mes cheveux pour ne pas que je me dandine. Il m'embrassait dans le cou. Et je savourais grandement cet instant. J'oubliais le temps.
Sa main sur hanche, m'attira vers lui . J'entendis: " viens te plaire plaisir ma puce " en un souffle. Sans contester , je chevauchais mon bel étalon. Bien qu'il etait pompier, mon cas était désespéré, il avait allumé un feu qu' il pouvait éteindre que d' une seule facon , en me baisant, en me faisant jouir. Alors , ses deux mains puissantes à présent sur mes hanches , il accompagnait mon mouvement. En haut, en bas . Mes ongles entraient dans ses épaules. Je le tenais fort. Je le sentais , entrer et sortir. Nos corps humides, chaud étaient sur la même longueur d'onde.
On se serrait de plus en plus fort, en échangeant des bouches à bouches. J'oubliais tout. Il n'y avait que lui . J'avais oublier que les stagiaires empruntaient parfois la porte de derrière. Je me cambrais sur son sexe, car je le voulais encore plus fort. L'arc formé par mon dos lui offrait une vue dégagée sur ma poitrine. Je souriais lorsque j'entendais dans ses gémissements de temps à autre " humm t'es bonne ".
Il me donnait de plus en plus chaud. Je m'incendiais autour de sa queue et je compris par un grognement virile qu'il avait jouit aussi. Je souriais timidement, la Mareen soft était à nouveau là, un peu désorientée mais consciente de ce qui venait de se passer. On s' empressa de nous habiller car il avait une session de formation juste après . Je sorti de la voiture en me recoiffant à l'arrache et en ajustant mon soutien gorge à travers mon chemisier . On se dirigea vers l entrée principale du parking. Et je le quittais comme si on ne s'était jamais rencontré aujourd'hui avec un baiser chaste sur les lèvres. Il me souriait puis se dirigea vers la salle.
Mareen
******
Le lien vers le récap' de tous les épisodes juste ici : La totale
L'imaginer juste en uniforme, me donnait des frissons. Ma formation de quelques jours etait terminé. On bavardait en fin de journée. Il me disait que j'avais les compétences pour etre volontaire si je le souhaitais. En y pensant, je me disais, je suis parfaitement volontaire à être prise par toi pendant les missions. Et mon envie de le vouloir augmentait encore. Je passais par là, non loin du lieu de formation. Je devais acheter des fournitures de pâtisseries pour une amie. Je l'ai vu passer, seul. Il devait sans doute aller se chercher de quoi déjeuner.
Et moi mon envie de faire de lui mon déjeuner était encore là. Comme une mission à valider à tout prix. Je le saluais en le souriant timidement. On bavardait tranquillement, de mise en pratique, de la pluie et du beau temps. Je suis assise assez décontractée sur le petit perron en béton a côté de la salle , le côté ombragé. Il fit de même . On continuait de parler . Tantôt je souriais en penchant la tête sur le côté. En moi , deux Mareen se battait pour prendre part à la lumière. Une Mareen qui n'avait pas froid aux yeux et l' autre Mareen la romantique, la bonne amie. Elle s'interchangeait . Le temps de quelques secondes que la Mareen coquine était partie , Guillaume était accolé à mes lèvres. Je lui rendit son baiser bien évidemment. Au fond de moi, j'entendais, vas y Mareen il est à toi !
Un baiser entraînant un autre, il m' emmena vers sa voiture. Garée derriere le bâtiment, il n'y avait aucune visibilité côté route. Il y avait juste une porte exterieure que quelques stagiaires empruntaient parfois. J' etais sur lui, j'avais chaud et je me laissais volontiers enlever ce qui était superflu , ma chemise, mon jean... Je le pris en main, il etait dur et me sentait ressentir que ma compagnie lui plaisait . On s' embrassait, se caressait.
Ses mains expertes m' entouraient la taille et remontaient petit à petit jusqu' à mes seins . Cambrée sur lui, je continuais à me frotter à lui. Mes lèvres quittaient ses lèvres pour descendre à son cou , pour aller ensuite à son torse , pour aller ensuite à son sexe. Gourmande, je décidai de le gouter à pleine bouche. De haut en bas, la langue en mouvement circulaire. Plus j'aspirais à lui faire plaisir, plus je l'entendais gémir, la main dans les cheveux.
Ça lui plaisait ce petit jeu, et à moi aussi. Tirant sur mes cheveux, il le fit remonter vers son visage. L' autre main attrapa vivement mes fesses, et glissa furtivement vers mon intimité. Pendant qu'il m'embrassait, je sentais deux doigts entrait en moi . En gémissant sous son oreille gauche, je me laissais faire. Il tenait encore mes cheveux de la main droite. Et puis il s'insérait, plus il tirait sur mes cheveux pour ne pas que je me dandine. Il m'embrassait dans le cou. Et je savourais grandement cet instant. J'oubliais le temps.
Sa main sur hanche, m'attira vers lui . J'entendis: " viens te plaire plaisir ma puce " en un souffle. Sans contester , je chevauchais mon bel étalon. Bien qu'il etait pompier, mon cas était désespéré, il avait allumé un feu qu' il pouvait éteindre que d' une seule facon , en me baisant, en me faisant jouir. Alors , ses deux mains puissantes à présent sur mes hanches , il accompagnait mon mouvement. En haut, en bas . Mes ongles entraient dans ses épaules. Je le tenais fort. Je le sentais , entrer et sortir. Nos corps humides, chaud étaient sur la même longueur d'onde.
On se serrait de plus en plus fort, en échangeant des bouches à bouches. J'oubliais tout. Il n'y avait que lui . J'avais oublier que les stagiaires empruntaient parfois la porte de derrière. Je me cambrais sur son sexe, car je le voulais encore plus fort. L'arc formé par mon dos lui offrait une vue dégagée sur ma poitrine. Je souriais lorsque j'entendais dans ses gémissements de temps à autre " humm t'es bonne ".
Il me donnait de plus en plus chaud. Je m'incendiais autour de sa queue et je compris par un grognement virile qu'il avait jouit aussi. Je souriais timidement, la Mareen soft était à nouveau là, un peu désorientée mais consciente de ce qui venait de se passer. On s' empressa de nous habiller car il avait une session de formation juste après . Je sorti de la voiture en me recoiffant à l'arrache et en ajustant mon soutien gorge à travers mon chemisier . On se dirigea vers l entrée principale du parking. Et je le quittais comme si on ne s'était jamais rencontré aujourd'hui avec un baiser chaste sur les lèvres. Il me souriait puis se dirigea vers la salle.
Mareen
******
Le lien vers le récap' de tous les épisodes juste ici : La totale