![[Épisode 7] #CoupDe...Tête [Épisode 7] #CoupDe...Tête](https://www.zinfos974.com/kamasucre/photo/art/default/12678622-19617042.jpg?v=1493216869)
Complètement folle. La tournure que prend ma vie depuis mon emménagement à Saint-Pierre est totalement imprévisible. Entre ma nuit avec Baptiste, la baise sauvage avec Lucas sur le capot d’une voiture, la course pour échapper à l’assaut du propriétaire du véhicule, la promotion proposée par ma patronne, et le mot de mon voisin inconnu, mes dernières semaines n’ont pas manqué de piquant. Il faut croire que j’aime ça, puisque je m’apprête à en mettre une dose supplémentaire. Il paraît que plus ça pique, plus c'est bon...
Il m’a fallu peu de temps pour savoir dans quel appartement résidait le voisin qui m’a laissé ce mystérieux courrier samedi. "Appartement 42" était inscrit à l’arrière de l’enveloppe, son expéditeur souhaitant visiblement recevoir un retour. Maintenant, je sais qu’il s’agit de l’un des deux hommes croisés juste après avoir été laissée dans un état de frustration intense par Lucas, la semaine dernière. À peine avait-il fini de jouir qu’il m’avait congédiée, le malfrat - de bonne guerre, étant donné le coup que je lui avais fait le premier soir. Mais impossible de savoir lequel des deux colocs est l'auteur de ce mot déroutant.
Il est 8h02 et j’ai donné rendez-vous à mon excitant voisin à 8h30, au photomaton le plus proche. Une légère appréhension s’empare de moi au moment de me préparer pour partir. Je décide de mettre une robe bleue, fluide, plutôt courte, un string noir facile à écarter d’une main, et de faire l’impasse sur le soutien-gorge. C’est avec une sensation de stress grandissante que je prends la route. Un peu comme sur le trajet d’un entretien d’embauche, je me demande à quelle sauce je vais être mangée.
En arrivant dans la grande surface où est installé le photomaton en question, je n’en mène pas large. Mais faire demi-tour n’est pas une option. Je suis bien trop curieuse et aventureuse pour ça. Derrière mes lunettes de soleil noires, je regarde partout, sans tourner la tête pour ne pas avoir l’air de le chercher. Rien à l'horizon. Même en me dévissant les yeux, je ne l’aperçois pas. Il est 8h29. L’allée du magasin n’est heureusement pas très fréquentée. Il ne faudrait pas que quelqu’un ait l’idée de venir se faire prendre en photo en même temps que moi.
Et s’il ne venait pas ? Et si tout cela n’était qu’une mauvaise blague ? C’est le doute subitement en tête que j’entre dans la cabine et m'installe sur le tabouret. Ouf, le rideau est plutôt long. Enfin… il arrive au niveau du genou lorsque je suis debout. Je le referme. "Mets-toi dos au rideau", me glisse alors une voix totalement inconnue. Aussi rassurée qu’il ne s’agisse pas d’une blague qu’angoissée à l’idée de ce qu’il va se passer, j’obéis. J’entends le bruit métallique des tringles du rideau qui s’ouvre puis se referme d’un coup sec, d’une main visiblement déterminée. L’individu avec qui j’ai rendez-vous me plaque contre la paroi. "Enchanté Roxanne", me glisse-t-il dans l’oreille. Mais qui est cet homme ? J’aperçois en tournant légèrement la tête sa silhouette dans le reflet de la vitre et me rends compte que je ne le connais absolument pas. Il ne ressemble à aucun des deux colocataires. Il est beaucoup plus costaud.
- Mais... T’habites pas dans l’appartement 42 !
- Si. C’est grâce à ça que je suis là, j’ai bien reçu ton mot.
- Je ne te connais pas ! Je croyais que ce serait l’un des deux colocs !
- On est trois à vivre dans cet appart
Il m’a fallu peu de temps pour savoir dans quel appartement résidait le voisin qui m’a laissé ce mystérieux courrier samedi. "Appartement 42" était inscrit à l’arrière de l’enveloppe, son expéditeur souhaitant visiblement recevoir un retour. Maintenant, je sais qu’il s’agit de l’un des deux hommes croisés juste après avoir été laissée dans un état de frustration intense par Lucas, la semaine dernière. À peine avait-il fini de jouir qu’il m’avait congédiée, le malfrat - de bonne guerre, étant donné le coup que je lui avais fait le premier soir. Mais impossible de savoir lequel des deux colocs est l'auteur de ce mot déroutant.
Il est 8h02 et j’ai donné rendez-vous à mon excitant voisin à 8h30, au photomaton le plus proche. Une légère appréhension s’empare de moi au moment de me préparer pour partir. Je décide de mettre une robe bleue, fluide, plutôt courte, un string noir facile à écarter d’une main, et de faire l’impasse sur le soutien-gorge. C’est avec une sensation de stress grandissante que je prends la route. Un peu comme sur le trajet d’un entretien d’embauche, je me demande à quelle sauce je vais être mangée.
En arrivant dans la grande surface où est installé le photomaton en question, je n’en mène pas large. Mais faire demi-tour n’est pas une option. Je suis bien trop curieuse et aventureuse pour ça. Derrière mes lunettes de soleil noires, je regarde partout, sans tourner la tête pour ne pas avoir l’air de le chercher. Rien à l'horizon. Même en me dévissant les yeux, je ne l’aperçois pas. Il est 8h29. L’allée du magasin n’est heureusement pas très fréquentée. Il ne faudrait pas que quelqu’un ait l’idée de venir se faire prendre en photo en même temps que moi.
Et s’il ne venait pas ? Et si tout cela n’était qu’une mauvaise blague ? C’est le doute subitement en tête que j’entre dans la cabine et m'installe sur le tabouret. Ouf, le rideau est plutôt long. Enfin… il arrive au niveau du genou lorsque je suis debout. Je le referme. "Mets-toi dos au rideau", me glisse alors une voix totalement inconnue. Aussi rassurée qu’il ne s’agisse pas d’une blague qu’angoissée à l’idée de ce qu’il va se passer, j’obéis. J’entends le bruit métallique des tringles du rideau qui s’ouvre puis se referme d’un coup sec, d’une main visiblement déterminée. L’individu avec qui j’ai rendez-vous me plaque contre la paroi. "Enchanté Roxanne", me glisse-t-il dans l’oreille. Mais qui est cet homme ? J’aperçois en tournant légèrement la tête sa silhouette dans le reflet de la vitre et me rends compte que je ne le connais absolument pas. Il ne ressemble à aucun des deux colocataires. Il est beaucoup plus costaud.
- Mais... T’habites pas dans l’appartement 42 !
- Si. C’est grâce à ça que je suis là, j’ai bien reçu ton mot.
- Je ne te connais pas ! Je croyais que ce serait l’un des deux colocs !
- On est trois à vivre dans cet appart
Quelle idiote. L’idée de m’avait même pas effleuré l’esprit. Pas même une demi-seconde. Plutôt que de me retourner pour voir à qui j’ai affaire, je décide de me laisser porter par cette situation totalement incongrue.
Je sens déjà son érection dans le bas de mon dos. Sa queue à l’air tellement grosse, même à travers son short, que ça me fait presque peur. Il se frotte à moi en se baissant légèrement pour caresser mes fesses de son sexe, à travers ma robe, le faisant glisser de gauche à droite, puis de bas en haut. Il baisse ensuite son short et relève ma robe pour sentir ma peau, pour mieux sentir le galbe de mon cul.
Sa bite est tellement chaude, elle est brûlante ! La situation m’effraie autant qu’elle m’excite. Je suis sur le point de me faire baiser par un homme dont je ne connais ni le visage, ni le prénom. Le tout dans un photomaton, à proximité des gens venus faire tranquillement leurs courses.
Alors que je me liquéfie littéralement, je le sens prendre quelque chose dans sa poche avant de se reculer. J’entends le bruit d’un emballage qui se déchire et comprends qu’il enfile un préservatif. Il ne perd pas de temps ! Après s’être assuré que je suis bien humide en plongeant sa main dans ma chatte, il lève ma robe, écarte d’une main ferme mon string et me prend d’emblée, d’un coup sec. Je sens son sexe qui s’insère en moi avec vigueur, me pénétrant de son diamètre imposant. Il entre jusqu'à la garde et commence à me pilonner avec vigueur, son souffle chaud me chatouillant agréablement la nuque. Putain mais qui es-tu, toi qui me baise dans ce photomaton ? Il accélère encore son mouvement tandis que ses dents s'enfonce dans mon cou.
C'est tellement dingue que je ne veux pas rater mon orgasme. Je veux jouir. À tout prix. Je veux que ce moment reste à tout jamais gravé dans mes anales du sexe. Pour m’aider à atteindre le septième ciel, je plonge ma main entre mes jambes et caresse mon clitoris, gonflé et trempé par le désir. Je sens l’orgasme de mon partenaire mystère arriver, ses mouvements deviennent décousus, il perd son rythme, soupire dans ma nuque et se retire.
Merde, et mon orgasme alors !! Je continue à me toucher, totalement déconnectée de la réalité, mais pourtant bien consciente qu’un inconnu est en train de me regarder en pleine masturbation, consciente que l’endroit est totalement inapproprié, consciente aussi que c’est de la folie pure. Je ne contrôle plus rien, je suis emportée par une vague d’ivresse, dépassée par la situation, et mon orgasme explose d’une manière inouïe, comme un coup d’électricité qui se répand dans tout mon corps, d’une violence presque insupportable.
Après avoir vu que j’avais repris mes esprits, mon voisin bien membré m’attrape la tête pour m’empêcher de lui faire face. "Gardons un peu de mystère, Roxanne. Moi non plus je ne sais pas à quoi tu ressembles. Je n’ai que la description de mes colocs. On aura sûrement l’occasion de se recroiser". Sur ces mots, il ressort, me laissant seule dans le photomaton.
Je laisse passer un vingtaine de seconde et me décide à sortir moi aussi. Un enfant d’environ cinq ans et sa mère s’approchent. "Il ne faut pas sourire, on n’a plus le droit sur les photos de passeport", lui indique-t-elle en s’apprêtant à entrer dans la cabine. "Pourquoi elle est toute rouge la dame, maman ?", demande-t-il alors en me montrant du doigt.
Kamasucre
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Le lien vers le récap' de tous les épisodes juste ici : La totale