![[Épisode 13] #SexAppeal [Épisode 13] #SexAppeal](https://www.zinfos974.com/kamasucre/photo/art/default/14185936-20211937.jpg?v=1496917500)
"Je préfère que ce soit toi". Il n’en fallait pas plus pour que je déboutonne son pantalon. Mais même avec l'effet des deux mojitos et l'intense excitation liée à tout ce que j'ai vu dans ce club, passer du rôle de spectatrice à celui d’actrice n’est pas si aisé.
Un peu timidement, je le caresse d’abord à travers son boxer, tendu par son érection. Je jette des coups d’œil aux alentours et m’aperçois que la salle ne cesse de se remplir. Ce sont maintenant quatre couples mixtes et un couple de femmes qui sont en train de se chauffer, éparpillés sur les fauteuils et canapés. Les corps sont de plus en plus dénudés, et la température ne cesse de grimper. Une agréable musique electro fait office de fond sonore.
- Je crois que je préfère te regarder faire, je lui lance, légèrement déçue par mon incapacité à passer à l’action.
- Comme tu voudras.
Me fixant droit dans les yeux, il sort son sexe. Je regarde sa bite avec une féroce envie de la goûter, mais il reste cette barrière dans ma tête qui m’empêche de le faire. "Viens, on va se rapprocher", me lance-t-il en se levant. Je quitte alors des yeux les deux couples qui m'intriguaient jusqu'à maintenant pour le suivre, sur un petit canapé, juste en face d’un autre couple. La femme, une malbaraise aux très longs cheveux, est assise dans le fauteuil. L’homme, un grand cafre bien bâti, est dos à nous, en train de baiser la bouche de sa partenaire. Il a de belles fesses, que j'admire sans gêne, et son mouvement de va-et-vient a quelque chose de gracieux.
De son côté, Lucas sort à nouveau sa queue, qu'il avait rangée le temps de se déplacer. Elle est toujours aussi dure, aussi belle. Il se fond dans le canapé et commence à s’astiquer. Mes yeux ne cessent de faire l’aller-retour entre sa bite et l’homme au beau cul. Soudain, ce dernier retire son sexe de la bouche de sa partenaire pour changer de position. Lorsqu’il se retourne, je remarque qu’il s’agit du beau brun qui me matait tout à l’heure, lorsqu’il était en pleine levrette, dans la salle nommée "Orgie". Il avait joui les yeux plongés dans les miens. Une image profondément excitante que je ne suis pas près d'oublier. Vu son sourire soudain, il est visiblement ravi de me revoir. Il me fait un signe de la tête et je comprends qu’il veut que je me joigne à eux. Je lance un regard inquisiteur à Lucas.
- Si tu as envie, vas-y, je te regarderai, je n’en prendrai que plus de plaisir. Tu ne m’appartiens pas, amuse-toi.
Mon sang ne fait qu’un tour. Je reste comme clouée au canapé. Le beau brun s’approche de moi doucement. "Première fois ?" "Oui ". Il se met à genoux devant mes jambes et commence à caresser mes cuisses. Il fait preuve d’une douceur étonnante, comme si prendre soin des nouvelles recrues était un honneur. Lucas le regarde faire, en se branlant très lentement. Le beau brun au beau cul m’attrape alors par le menton et m’embrasse. Sa langue va et vient dans ma bouche avec une puissante sensualité. Etrangement, ce baiser me laisse une forte impression de déjà-vu. "Tu sais que tu as un sex-appeal monstre ?" me lance-t-il. "Merci", je réponds plus que flattée.
Sa bouche descend ensuite au niveau de mes cuisses, qu'il mordille avant de plonger sous ma robe pour écarter mon string et commencer à goûter ma chatte. Aussi déboussolée qu'excitée, je tourne la tête pour regarder Lucas. Sa bouche est entr'ouverte, ses yeux pleins d'envie. Cette image décuple mon désir. "Laisse-toi aller" , me souffle-t-il dans le creux de l'oreille. De plus en plus détendue, je parviens à présent à profiter pleinement de la sensation que m'offre la langue de cet homme, engouffrée dans la fente de mon sexe, complètement trempé. Emportée par le plaisir, j’écarte mes cuisses pour le laisser mieux m’explorer. Putain, il sait y faire.
Mes yeux quittent ceux de Lucas pour venir se poser sur sa queue, qu’il continue de branler, un peu plus rapidement maintenant. D'un geste habile, il saisit un tube de lubrifiant posé sur une table basse juste à côté pour rendre sa manœuvre plus agréable. L’odeur fruitée et épicée qui s’en dégage est très agréable. Son sexe luit désormais, comme une grosse sucette. Son gland est à croquer. Il se branle encore un peu plus rapidement, guettant chacun de mes soupirs, chacun de mes gémissements.
Je suis comme transportée, avec l’impression que rien ne peut m’atteindre. J'aperçois alors la partenaire de cet inconnu aux belles fesses en train de nous regarder elle aussi, jouant avec son clitoris. Mes yeux font alors un tour d'horizon de la salle, où près d'une dizaine de personnes maintenant sont en train de s'adonner aux joies du sexe.
Lucas m'attrape alors par le menton pour approcher sa bouche de la mienne, tandis que la langue de mon inconnu continue de jouer avec mon clitoris, avec de plus en plus de véhémence. Quand ses lèvres rejoignent les miennes, je sens arriver l'ascension vers le plaisir. Je m'écarte de son baiser et lui attrape la nuque pour garder son visage au plus près de moi, afin que nos regards se captent à nouveau. Mon corps est alors envahi par un puissant orgasme, qui me plonge dans un état quasiment second, si bien que je peine à garder les yeux ouverts.
Une fois redescendue sur terre, alors que j'allais remercier -d'un sourire au moins- l'homme entre mes cuisses, j’aperçois ma directrice à l'entrée de la maison. Je sursaute. "Lucas, y’a ma patronne, faut pas qu’elle me voit. Y’a une autre sortie ?" Le beau brun qui jouait avec ma chatte part dans un rire tonitruant. "C’est elle ta patronne ? Je me la ferais bien". C’est drôle, sa voix me dit quelque chose. Je commence vraiment à me dire que je le connais. Mais d’où ? Pas le temps d’essayer de me remémorer à qui cette voix me fait penser, l’urgence est d’échapper à Madame Lépinay. Je serais vraiment trop gênée qu’elle m’aperçoive ici. Ce n’est pas parce qu’on a commencé une relation qui sort largement du cadre du travail qu’on doit partager des choses pareilles ! Des limites me semblent indispensables !
Heureusement, elle se dirige vers le couloir sans s’approcher de nous. Je me demande aussitôt quelle salle elle va choisir. Je meurs d’envie de le savoir. Je me mets à l’imaginer dans chacune des pièces. En train de se trémousser autour de la barre de pole dance, narguant de ses jolies formes les voyeurs admiratifs. En train se faire prendre, entourée de plusieurs corps nus. À attendre que des queues sans corps ni tête se présentent à elle pour les sucer, les branler ou même leur tendre son joli petit cul dans la salle au trois trous dans la porte. La salle sado-maso me fait hésiter. Dans le rôle du sadique ou du maso ? Je penche pour la première hypothèse. Enfin, je l’imagine dans la salle vidéo, se faisant filmer en train de s’amuser seule avec un vibro. C’est dans cette dernière posture que je l’imagine le mieux.
Une idée qui me semble soudain lumineuse me traverse l’esprit. Et si je demandais à Lucas d’aller me chercher un masque recouvrant intégralement le visage pour aller la guetter en toute discrétion ?
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Le lien vers le récap' de tous les épisodes juste ici : La totale
Un peu timidement, je le caresse d’abord à travers son boxer, tendu par son érection. Je jette des coups d’œil aux alentours et m’aperçois que la salle ne cesse de se remplir. Ce sont maintenant quatre couples mixtes et un couple de femmes qui sont en train de se chauffer, éparpillés sur les fauteuils et canapés. Les corps sont de plus en plus dénudés, et la température ne cesse de grimper. Une agréable musique electro fait office de fond sonore.
- Je crois que je préfère te regarder faire, je lui lance, légèrement déçue par mon incapacité à passer à l’action.
- Comme tu voudras.
Me fixant droit dans les yeux, il sort son sexe. Je regarde sa bite avec une féroce envie de la goûter, mais il reste cette barrière dans ma tête qui m’empêche de le faire. "Viens, on va se rapprocher", me lance-t-il en se levant. Je quitte alors des yeux les deux couples qui m'intriguaient jusqu'à maintenant pour le suivre, sur un petit canapé, juste en face d’un autre couple. La femme, une malbaraise aux très longs cheveux, est assise dans le fauteuil. L’homme, un grand cafre bien bâti, est dos à nous, en train de baiser la bouche de sa partenaire. Il a de belles fesses, que j'admire sans gêne, et son mouvement de va-et-vient a quelque chose de gracieux.
De son côté, Lucas sort à nouveau sa queue, qu'il avait rangée le temps de se déplacer. Elle est toujours aussi dure, aussi belle. Il se fond dans le canapé et commence à s’astiquer. Mes yeux ne cessent de faire l’aller-retour entre sa bite et l’homme au beau cul. Soudain, ce dernier retire son sexe de la bouche de sa partenaire pour changer de position. Lorsqu’il se retourne, je remarque qu’il s’agit du beau brun qui me matait tout à l’heure, lorsqu’il était en pleine levrette, dans la salle nommée "Orgie". Il avait joui les yeux plongés dans les miens. Une image profondément excitante que je ne suis pas près d'oublier. Vu son sourire soudain, il est visiblement ravi de me revoir. Il me fait un signe de la tête et je comprends qu’il veut que je me joigne à eux. Je lance un regard inquisiteur à Lucas.
- Si tu as envie, vas-y, je te regarderai, je n’en prendrai que plus de plaisir. Tu ne m’appartiens pas, amuse-toi.
Mon sang ne fait qu’un tour. Je reste comme clouée au canapé. Le beau brun s’approche de moi doucement. "Première fois ?" "Oui ". Il se met à genoux devant mes jambes et commence à caresser mes cuisses. Il fait preuve d’une douceur étonnante, comme si prendre soin des nouvelles recrues était un honneur. Lucas le regarde faire, en se branlant très lentement. Le beau brun au beau cul m’attrape alors par le menton et m’embrasse. Sa langue va et vient dans ma bouche avec une puissante sensualité. Etrangement, ce baiser me laisse une forte impression de déjà-vu. "Tu sais que tu as un sex-appeal monstre ?" me lance-t-il. "Merci", je réponds plus que flattée.
Sa bouche descend ensuite au niveau de mes cuisses, qu'il mordille avant de plonger sous ma robe pour écarter mon string et commencer à goûter ma chatte. Aussi déboussolée qu'excitée, je tourne la tête pour regarder Lucas. Sa bouche est entr'ouverte, ses yeux pleins d'envie. Cette image décuple mon désir. "Laisse-toi aller" , me souffle-t-il dans le creux de l'oreille. De plus en plus détendue, je parviens à présent à profiter pleinement de la sensation que m'offre la langue de cet homme, engouffrée dans la fente de mon sexe, complètement trempé. Emportée par le plaisir, j’écarte mes cuisses pour le laisser mieux m’explorer. Putain, il sait y faire.
Mes yeux quittent ceux de Lucas pour venir se poser sur sa queue, qu’il continue de branler, un peu plus rapidement maintenant. D'un geste habile, il saisit un tube de lubrifiant posé sur une table basse juste à côté pour rendre sa manœuvre plus agréable. L’odeur fruitée et épicée qui s’en dégage est très agréable. Son sexe luit désormais, comme une grosse sucette. Son gland est à croquer. Il se branle encore un peu plus rapidement, guettant chacun de mes soupirs, chacun de mes gémissements.
Je suis comme transportée, avec l’impression que rien ne peut m’atteindre. J'aperçois alors la partenaire de cet inconnu aux belles fesses en train de nous regarder elle aussi, jouant avec son clitoris. Mes yeux font alors un tour d'horizon de la salle, où près d'une dizaine de personnes maintenant sont en train de s'adonner aux joies du sexe.
Lucas m'attrape alors par le menton pour approcher sa bouche de la mienne, tandis que la langue de mon inconnu continue de jouer avec mon clitoris, avec de plus en plus de véhémence. Quand ses lèvres rejoignent les miennes, je sens arriver l'ascension vers le plaisir. Je m'écarte de son baiser et lui attrape la nuque pour garder son visage au plus près de moi, afin que nos regards se captent à nouveau. Mon corps est alors envahi par un puissant orgasme, qui me plonge dans un état quasiment second, si bien que je peine à garder les yeux ouverts.
Une fois redescendue sur terre, alors que j'allais remercier -d'un sourire au moins- l'homme entre mes cuisses, j’aperçois ma directrice à l'entrée de la maison. Je sursaute. "Lucas, y’a ma patronne, faut pas qu’elle me voit. Y’a une autre sortie ?" Le beau brun qui jouait avec ma chatte part dans un rire tonitruant. "C’est elle ta patronne ? Je me la ferais bien". C’est drôle, sa voix me dit quelque chose. Je commence vraiment à me dire que je le connais. Mais d’où ? Pas le temps d’essayer de me remémorer à qui cette voix me fait penser, l’urgence est d’échapper à Madame Lépinay. Je serais vraiment trop gênée qu’elle m’aperçoive ici. Ce n’est pas parce qu’on a commencé une relation qui sort largement du cadre du travail qu’on doit partager des choses pareilles ! Des limites me semblent indispensables !
Heureusement, elle se dirige vers le couloir sans s’approcher de nous. Je me demande aussitôt quelle salle elle va choisir. Je meurs d’envie de le savoir. Je me mets à l’imaginer dans chacune des pièces. En train de se trémousser autour de la barre de pole dance, narguant de ses jolies formes les voyeurs admiratifs. En train se faire prendre, entourée de plusieurs corps nus. À attendre que des queues sans corps ni tête se présentent à elle pour les sucer, les branler ou même leur tendre son joli petit cul dans la salle au trois trous dans la porte. La salle sado-maso me fait hésiter. Dans le rôle du sadique ou du maso ? Je penche pour la première hypothèse. Enfin, je l’imagine dans la salle vidéo, se faisant filmer en train de s’amuser seule avec un vibro. C’est dans cette dernière posture que je l’imagine le mieux.
Une idée qui me semble soudain lumineuse me traverse l’esprit. Et si je demandais à Lucas d’aller me chercher un masque recouvrant intégralement le visage pour aller la guetter en toute discrétion ?
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Le lien vers le récap' de tous les épisodes juste ici : La totale