Selon les témoignages recueillis par le média espagnol, le recruteur aurait demandé aux candidates de se déshabiller « pour vérifier la présence de tatouages, de cicatrices ou de taches de naissance ». Celles-ci auraient été invitées à ne garder que leurs sous-vêtements.
Par ailleurs, une candidate parlant sept langues différentes aurait été disqualifiée à cause d’une cicatrice au sourcil. « Le recruteur lui a dit qu’il se fichait de ses sept langues, et qu’il ne baisait pas les gens avec des cicatrices », a confié l’une des candidates dans les colonnes du média espagnol.
De son côté, l’entreprise spécialisée a assuré qu’elle mettrait en place un nouveau processus de sélection en Espagne dès ce mois-ci.
Le ministère espagnol du Travail a quant à lui annoncé l’ouverture d’une enquête sur les processus de recrutement de l’entreprise Meccti.