Jean-Marie Virapoullé a présenté devant les élus du Conseil départemental réunis ce mardi en assemblée plénière une motion pour "amplifier le plan d’action d’urgence contre le zika".
Le conseiller départemental estime que l’île souffre d’un "défaut d’action de prévention et de lutte contre la prolifération des moustiques alors que les conditions climatiques sont particulièrement propices au développement des moustiques Aedes, vecteurs de la maladie".
L’importation d’un premier cas le 7 mars dernier, confirmée par l’ARS confère à la situation, pour le président du groupe Union Réunion Avenir, un caractère d’urgence.
Craignant que "d’autres cas aient pu passer inaperçus en raison du caractère asymptotique de la maladie", il a donc été demandé au Département d’adopter un plan prévoyant "la généralisation et l’amplification des mesures en matière d’information de la population", "le renforcement des moyens humains et matériels pour éradiquer le vecteur aedes à travers le nettoyage des ravines, le traitement des gîtes larvaires".
Eviter un autre chikungunya
Pour les voyageurs en partance dans des zones épidémiques en particulier aux Antilles-Guyane , "la sensibilisation systématique et personnalisée" et "la mise en place d’un suivi personnalisé pour tous les voyageurs qui arrivent à la Réunion en provenance des zones épidémiques, à travers une consultation médicale obligatoire, pour éviter la propagation de la maladie dans l’île", ont été proposées.
La motion a été adoptée en urgence, à l’unanimité des élus, "toutes tendances confondues", se félicite l’élu qui ajoute qu’"il est important que les orientations que nous avons données à travers cette motion soient entendues et prises en compte par le Préfet de la Réunion, la Ministre de l’Outre-Mer et la Ministre de la Santé à qui elle sera adressée".
"La Réunion a déjà souffert des conséquences désastreuses du chikungunya et ne doit plus subir ce genre d’épidémie", ajoute-t-il.
Le conseiller départemental estime que l’île souffre d’un "défaut d’action de prévention et de lutte contre la prolifération des moustiques alors que les conditions climatiques sont particulièrement propices au développement des moustiques Aedes, vecteurs de la maladie".
L’importation d’un premier cas le 7 mars dernier, confirmée par l’ARS confère à la situation, pour le président du groupe Union Réunion Avenir, un caractère d’urgence.
Craignant que "d’autres cas aient pu passer inaperçus en raison du caractère asymptotique de la maladie", il a donc été demandé au Département d’adopter un plan prévoyant "la généralisation et l’amplification des mesures en matière d’information de la population", "le renforcement des moyens humains et matériels pour éradiquer le vecteur aedes à travers le nettoyage des ravines, le traitement des gîtes larvaires".
Eviter un autre chikungunya
Pour les voyageurs en partance dans des zones épidémiques en particulier aux Antilles-Guyane , "la sensibilisation systématique et personnalisée" et "la mise en place d’un suivi personnalisé pour tous les voyageurs qui arrivent à la Réunion en provenance des zones épidémiques, à travers une consultation médicale obligatoire, pour éviter la propagation de la maladie dans l’île", ont été proposées.
La motion a été adoptée en urgence, à l’unanimité des élus, "toutes tendances confondues", se félicite l’élu qui ajoute qu’"il est important que les orientations que nous avons données à travers cette motion soient entendues et prises en compte par le Préfet de la Réunion, la Ministre de l’Outre-Mer et la Ministre de la Santé à qui elle sera adressée".
"La Réunion a déjà souffert des conséquences désastreuses du chikungunya et ne doit plus subir ce genre d’épidémie", ajoute-t-il.