Malgré la décision du tribunal de commerce en première instance, la cour d’appel a elle condamné le fournisseur mobile internet Zeop pour « obscénité » indique le Quotidien.
Au coeur du conflit, une publicité affichée dans les rues de La Réunion en 2016 et sur laquelle un graphique comparaissait la vitesse des débits des différents fournisseurs de l’île. Seul hic, les tubes sont disposés d’une manière qui évoque un doigt d’honneur, accompagnés de la phrase « une vitesse insolente ».
Poursuivis par son concurrent SFR pour préjudice d’image, la cour d’appel a condamné Zeop a lui verser 10.000 euros de dommages, contre les 530.000 réclamés. Une décision que le fournisseur peï a qualifié de pondérée et équilibrée.