Yves Montrouge me fait l’honneur de me citer ce matin dans son édito.
Si j’ai bien compris, car c’était parfois un peu confus, il me reproche d’avoir fait le choix de ne plus citer les noms et de ne plus publier des photos de terroristes.
Bien lui en fasse. Les goûts et les couleurs (de ses chemises entre autres) ne se discutent pas. Comme pour beaucoup de choses, on peut être d’accord ou pas. La vie serait bien triste si nous étions tous du même avis.
Qu’il me donne des leçons de journalisme, passe encore. Même si ça prête à sourire…
Mais en prenant cette décision, je me suis rangé aux côtés de médias comme Le Monde, BFM-TV, Europe 1 et France Médias Monde (RFI, France 24 et Monte Carlo Doualiya).
Et là, voir Yves Montrouge, petit rédacteur en chef d’un journal de province, faire la leçon au directeur du Monde, je ne me contente plus de sourire. Je me roule par terre…