
Wilfrid Bertile l’a mauvaise… L’ancien élu socialiste de Saint-Philippe, qui croyait en ses chances lors des prochaines élections sénatoriales, est reparti bredouille du conseil fédéral du PS qui s’est tenu hier soir à Saint-Denis. L’ancien député-maire de Saint-Philippe n’a même pas été retenu sur la liste LPA-PS présentée pour ce futur scrutin, qui a validé le ticket Dennemont-Belim.
"Ce que je craignais est arrivé : on préfère perdre séparément que de gagner ensemble", glisse amèrement Wilfrid Bertile, pas tendre avec les choix opérés par le parti à la rose, "qui préfère une alliance avec les centristes contre une majorité de gauche".
Des choix qui "interrogent un certain nombre de socialistes" et qui lui font dire qu’avec cet accord avec le parti de Thierry Robert, "il n’y aura pas de candidat socialiste élu le 24 septembre" car comme il tient à le rappeler, "M.Dennemont n’est pas socialiste".
Ne pas ajouter de la confusion à la situation
Wilfrid Bertile estime être le seul à avoir présenté un réel projet contrairement aux autres, "qui sont dans des combinaisons politiques". "Je voulais me présenter pour populariser un projet : la victoire n’aurait peut-être pas été électorale mais politique" affirme l’ancien député-maire de Saint-Philippe. Il ajoute : "On nous présente des stratégies qui paraissent lumineuses pour le bureau fédéral mais qui se retournent contre le parti…"
Il dit "prendre le temps de la réflexion" et malgré cette déconvenue, Wilfrid Bertile assure qu’il ne compte pas faire cavalier seul en présentant une liste ou s’allier à d’autres forces de progrès. "Je ne souhaite pas ajouter de la confusion à la situation en allant aux sénatoriales pour créer encore plus de divisons. Je rassemblerai néanmoins mes amis sur le projet que je porte, qui peut-être amendé, enrichi", déclare l’universitaire, qui veut "se mettre en stand by".
Ce dernier veut faire office de "passeur" auprès des jeunes générations, en leur transmettant "des valeurs et des idées" mais aussi "les résultats d’une expérience". "Si j’arrive à faire ça, je terminerais ma vie avec beaucoup de sérénité", termine Wilfrid Bertile.
"Ce que je craignais est arrivé : on préfère perdre séparément que de gagner ensemble", glisse amèrement Wilfrid Bertile, pas tendre avec les choix opérés par le parti à la rose, "qui préfère une alliance avec les centristes contre une majorité de gauche".
Des choix qui "interrogent un certain nombre de socialistes" et qui lui font dire qu’avec cet accord avec le parti de Thierry Robert, "il n’y aura pas de candidat socialiste élu le 24 septembre" car comme il tient à le rappeler, "M.Dennemont n’est pas socialiste".
Ne pas ajouter de la confusion à la situation
Wilfrid Bertile estime être le seul à avoir présenté un réel projet contrairement aux autres, "qui sont dans des combinaisons politiques". "Je voulais me présenter pour populariser un projet : la victoire n’aurait peut-être pas été électorale mais politique" affirme l’ancien député-maire de Saint-Philippe. Il ajoute : "On nous présente des stratégies qui paraissent lumineuses pour le bureau fédéral mais qui se retournent contre le parti…"
Il dit "prendre le temps de la réflexion" et malgré cette déconvenue, Wilfrid Bertile assure qu’il ne compte pas faire cavalier seul en présentant une liste ou s’allier à d’autres forces de progrès. "Je ne souhaite pas ajouter de la confusion à la situation en allant aux sénatoriales pour créer encore plus de divisons. Je rassemblerai néanmoins mes amis sur le projet que je porte, qui peut-être amendé, enrichi", déclare l’universitaire, qui veut "se mettre en stand by".
Ce dernier veut faire office de "passeur" auprès des jeunes générations, en leur transmettant "des valeurs et des idées" mais aussi "les résultats d’une expérience". "Si j’arrive à faire ça, je terminerais ma vie avec beaucoup de sérénité", termine Wilfrid Bertile.