
En juillet 2015 sur une plage de Saint-André, un flaperon du Boeing 777 avait été retrouvé.
La disparition en vol du Boeing 777 de la Malaysia Airlines le 8 mars 2014 demeure un des plus grands mystères de l'histoire de l'aviation. Comment un avion avec ses 239 passagers peut-il ainsi disparaitre sans laisser de traces ?
Pendant un temps, beaucoup de familles de victimes doutaient même de son crash. Il a fallu la découverte d'un bout d'aile en juillet 2015 sur une plage de Saint-André pour les ramener malheureusement à la dure réalité.
Il n'en demeure pas moins que personne ne sait encore aujourd'hui exactement ce qui s'est passé et les théories les plus folles, et d'autres beaucoup plus sensées, continuent à circuler.
Il en est une qui revient souvent qui veut que le crash soit survenu volontairement, dans un acte suicidaire du pilote, Zaharie Ahmad Shah.
C'est cette théorie qui a de nouveau été mise en avant par des experts lors d'une émission télévisée australienne diffusée le 13 mai. Une hypothèse qui rappelle fortement le crash du vol Barcelone - Düsseldorf de la German Wings. Le 24 mars 2015, le copilote allemand Andreas Lubitz avait précipité son appareil dans le massif des Trois-Évêchés (Alpes françaises). Les 144 passagers et les six membres de l'équipage avaient trouvé la mort.
Dans le cas du MH370, cette théorie est étayée par plusieurs éléments: la signalisation volontairement coupée de l'avion, le trajet de sept heures hors du plan de vol, la découverte de simulations de vol jusque dans l'océan Indien dans le simulateur du pilote, la condamnation d'un leader de l'opposition malaisien la veille de la disparition de l'avion alors que le pilote militait justement dans l'opposition...
Selon ces experts, Zaharie Ahmad Shah aurait enfilé un masque à oxygène puis dépressurisé l'avion afin d'assommer passagers et membres d'équipage. Un acte qui lui aurait laissé le champ libre et expliquerait pourquoi aucun appel au secours n'a été reçu.
Spécialiste en aviation civile, Simon Hardy a estimé par exemple que le pilote a voulu faire un dernier "adieu ému" à sa ville natale, Penang (Malaisie), qu'il aurait donc survolée avant de crasher l'appareil à un endroit qui reste encore inconnu.
Les recherches de l'épave ont repris en janvier dernier. Menées par une entreprise américaine de cartographie sous-marine, Ocean Infinity, elles se concentrent sur une zone plus au nord que l'ancienne zone de recherches.
Pendant un temps, beaucoup de familles de victimes doutaient même de son crash. Il a fallu la découverte d'un bout d'aile en juillet 2015 sur une plage de Saint-André pour les ramener malheureusement à la dure réalité.
Il n'en demeure pas moins que personne ne sait encore aujourd'hui exactement ce qui s'est passé et les théories les plus folles, et d'autres beaucoup plus sensées, continuent à circuler.
Il en est une qui revient souvent qui veut que le crash soit survenu volontairement, dans un acte suicidaire du pilote, Zaharie Ahmad Shah.
C'est cette théorie qui a de nouveau été mise en avant par des experts lors d'une émission télévisée australienne diffusée le 13 mai. Une hypothèse qui rappelle fortement le crash du vol Barcelone - Düsseldorf de la German Wings. Le 24 mars 2015, le copilote allemand Andreas Lubitz avait précipité son appareil dans le massif des Trois-Évêchés (Alpes françaises). Les 144 passagers et les six membres de l'équipage avaient trouvé la mort.
Dans le cas du MH370, cette théorie est étayée par plusieurs éléments: la signalisation volontairement coupée de l'avion, le trajet de sept heures hors du plan de vol, la découverte de simulations de vol jusque dans l'océan Indien dans le simulateur du pilote, la condamnation d'un leader de l'opposition malaisien la veille de la disparition de l'avion alors que le pilote militait justement dans l'opposition...
Selon ces experts, Zaharie Ahmad Shah aurait enfilé un masque à oxygène puis dépressurisé l'avion afin d'assommer passagers et membres d'équipage. Un acte qui lui aurait laissé le champ libre et expliquerait pourquoi aucun appel au secours n'a été reçu.
Spécialiste en aviation civile, Simon Hardy a estimé par exemple que le pilote a voulu faire un dernier "adieu ému" à sa ville natale, Penang (Malaisie), qu'il aurait donc survolée avant de crasher l'appareil à un endroit qui reste encore inconnu.
Les recherches de l'épave ont repris en janvier dernier. Menées par une entreprise américaine de cartographie sous-marine, Ocean Infinity, elles se concentrent sur une zone plus au nord que l'ancienne zone de recherches.