
"Personne n’est propriétaire des suffrages", Virginie Gobalou s’adresse d’entrée de jeu à son adversaire, David Lorion. "Les électeurs ont la liberté de choix malgré les pressions et les intimidations subies sur l’électorat notamment le plus fragile".
Autour de Virginie Gobalou, des soutiens de l’entre-deux-tours venus appuyer sa candidature, Jean-François Saperdon, Danon Lutchmee Odayen, Max Banon ou encore Jean-Hugues Suzanne.
Pour la plupart d'anciens candidats situés plutôt à gauche de l’échiquier politique à l’exception de Me Brigitte Hoarau. L’élue de l’opposition de la Petite-Ile, qui n’avait finalement pas obtenu l’investiture d’En Marche, se positionne d’ordinaire au centre voire à droite. "Je me surprends à être là" . Mais pour l’avocate engagée dans le milieu associatif "il faut être uni". Une union qui fait pencher la balance à gauche pour Brigitte Hoarau. "Chez les Républicains, il y a une culture de l’entre-soi, où l’on se distribue des postes". "Cette concentration du pouvoir", assure-t-elle, "ne fait pas avancer".
Pour Patrick Lebreton, les électeurs de la 4e circonscription ont eu le choix au premier tour entre "une droite divisée et une gauche diversifiée". Une diversité qui leur aurait permis de se retrouver au second tour alors qu’aucune conférence de presse n’a été organisée dans le camp adverse en présence de Philippe Ghanty, ex Les Républicains, Hermann Rifosta ou encore Bernad Von-Pine pourtant issus de la majorité municipale de David Lorion, pique le député sortant.
"Je ne serai pas une parlementaire technocrate mais de proximité", assure Virginie Gobalou. "Cette union renforce ma motivation".
Autour de Virginie Gobalou, des soutiens de l’entre-deux-tours venus appuyer sa candidature, Jean-François Saperdon, Danon Lutchmee Odayen, Max Banon ou encore Jean-Hugues Suzanne.
Pour la plupart d'anciens candidats situés plutôt à gauche de l’échiquier politique à l’exception de Me Brigitte Hoarau. L’élue de l’opposition de la Petite-Ile, qui n’avait finalement pas obtenu l’investiture d’En Marche, se positionne d’ordinaire au centre voire à droite. "Je me surprends à être là" . Mais pour l’avocate engagée dans le milieu associatif "il faut être uni". Une union qui fait pencher la balance à gauche pour Brigitte Hoarau. "Chez les Républicains, il y a une culture de l’entre-soi, où l’on se distribue des postes". "Cette concentration du pouvoir", assure-t-elle, "ne fait pas avancer".
Pour Patrick Lebreton, les électeurs de la 4e circonscription ont eu le choix au premier tour entre "une droite divisée et une gauche diversifiée". Une diversité qui leur aurait permis de se retrouver au second tour alors qu’aucune conférence de presse n’a été organisée dans le camp adverse en présence de Philippe Ghanty, ex Les Républicains, Hermann Rifosta ou encore Bernad Von-Pine pourtant issus de la majorité municipale de David Lorion, pique le député sortant.
"Je ne serai pas une parlementaire technocrate mais de proximité", assure Virginie Gobalou. "Cette union renforce ma motivation".