
Même si son “Comité de défense des consommateurs réunionnais” n’a pas encore abouti, Jean-Paul Virapoullé occupe de manière permanente le terrain à droite. Pour l’heure, c’est le seul élu qui s’exprime dans son camp. Pourtant, le sujet agite les DOM et La France métropolitaine, au plus haut niveau de l’Etat.
Dans sa proposition de loi, le sénateur regrette d’abord la non application de la législation communautaire (art. 81 et 82 du Traité sur l’Union européenne) et nationale (ordonnance du 1er décembre 1986) “s’applique aussi dans les départements d’Outre-mer, mais se heurte aux réticences locales et à l’alibi du coût de la distance”.
Cette “nouvelle révélation” de Jean-Paul Virapoullé amène deux interrogations : “Qui sont ces réticences locales ?” et “avec l’appui de qui sont-ils hors-la-loi depuis si longtemps ?”
Après l’index fantaisiste et artificiel utilisé par les pétroliers, voilà un autre argument que le Collectif et les associations de consommateurs ont désormais en leur faveur.
Une fois de plus, Jean-Paul Virapoullé dénonce “des prix d’oligopoles voire de monopoles”. Cette fois-ci, il pointe du doigt la grande distribution, et ce de manière explicite.
Selon lui, sa mainmise pèse sur une partie essentielle de l’économie locale. “Une part importante des petits producteurs locaux, notamment dans l’industrie agro-alimentaire est obligée de subir les contraintes dictées par les centrales d’achat de cette grande distribution”.
La grande distribution ne serait pas la seule responsable de cette situation. “Certains secteurs continuent de subir la présence d’une ou plusieurs grosses entreprises dominantes qui pratiquent des prix non conformes à l’optimum du marché. Citons à ce titre les transports aériens, la distribution de carburants, l’importation de matériaux de construction ou encore les télécommunications…”
Jean-Paul Virapoullé qui pense que sa proposition de loi “compatible avec la législation française (article L 410-2 du code du commerce) et européenne (le 3ème alinéa de l’article 299§2 du Traité d’Amsterdam), mettra en place un processus d’encadrement des prix de 100 produits de première nécessité, et ce compte tenu de la faiblesse du pouvoir d’achat et des marges réalisées (souvent off-shore…) par les importateurs”.
Dans sa proposition de loi, le sénateur regrette d’abord la non application de la législation communautaire (art. 81 et 82 du Traité sur l’Union européenne) et nationale (ordonnance du 1er décembre 1986) “s’applique aussi dans les départements d’Outre-mer, mais se heurte aux réticences locales et à l’alibi du coût de la distance”.
Cette “nouvelle révélation” de Jean-Paul Virapoullé amène deux interrogations : “Qui sont ces réticences locales ?” et “avec l’appui de qui sont-ils hors-la-loi depuis si longtemps ?”
Après l’index fantaisiste et artificiel utilisé par les pétroliers, voilà un autre argument que le Collectif et les associations de consommateurs ont désormais en leur faveur.
Une fois de plus, Jean-Paul Virapoullé dénonce “des prix d’oligopoles voire de monopoles”. Cette fois-ci, il pointe du doigt la grande distribution, et ce de manière explicite.
Selon lui, sa mainmise pèse sur une partie essentielle de l’économie locale. “Une part importante des petits producteurs locaux, notamment dans l’industrie agro-alimentaire est obligée de subir les contraintes dictées par les centrales d’achat de cette grande distribution”.
La grande distribution ne serait pas la seule responsable de cette situation. “Certains secteurs continuent de subir la présence d’une ou plusieurs grosses entreprises dominantes qui pratiquent des prix non conformes à l’optimum du marché. Citons à ce titre les transports aériens, la distribution de carburants, l’importation de matériaux de construction ou encore les télécommunications…”
Jean-Paul Virapoullé qui pense que sa proposition de loi “compatible avec la législation française (article L 410-2 du code du commerce) et européenne (le 3ème alinéa de l’article 299§2 du Traité d’Amsterdam), mettra en place un processus d’encadrement des prix de 100 produits de première nécessité, et ce compte tenu de la faiblesse du pouvoir d’achat et des marges réalisées (souvent off-shore…) par les importateurs”.