
En instance de divorce, un couple de Saint-André avait fait parler de lui en décembre 2020. L'ancienne compagne qui venait au domicile de son ex pour récupérer leur enfant de 5 ans avait porté plainte pour des violences qu'elle aurait subies à ce moment-là. Selon ses dires, elle aurait été attrapée par les deux bras, poussée en arrière, ce qui aurait provoqué sa chute ainsi qu'un hématome au bras.
De son côté, le mis en cause, Jérémy A., 31 ans, bien que très alcoolisé au moment des faits - 2.72gr/l - avait toujours nié avoir porté le moindre coup. Il avait expliqué que c'était la mère qui avait tenté de pénétrer dans le domicile, ceci n'expliquant pas l'hématome au bras dont elle s'était plainte et qui n'avait engendré aucun jour d'ITT.
Devant le tribunal correctionnel, l'avocat de la défense, le bâtonnier Georges-André Hoarau, avait fait valoir la proximité entre l'ancienne conjointe et un policier de Saint-André, ce qui, selon le conseil, aurait permis de "monter le dossier en épingle". Mais les juges avaient tout de même condamné son client à une amende de 1000 euros ainsi qu'à une indemnisation de 400 euros au titre du préjudice moral de la victime.
Sollicitée à son tour, la cour d'appel n'a pas eu la même lecture du dossier. Concernant d'une part l'alcoolisation du prévenu qui pouvait bien faire ce qu'il voulait dans la mesure où il se trouvait chez lui. Pour les magistrats de la rue Juliette Dodu, la plaignante était venue chercher son fils avant l'heure prévue et avait pénétré au domicile paternel sans y avoir été invitée.
D'autre part, aucun témoin n'ayant été présent lors des violences rapportées, la cour a estimé qu'il n'y en avait pas eu et a relaxé Jérémy A., inconnu des services de police et de justice.
De son côté, le mis en cause, Jérémy A., 31 ans, bien que très alcoolisé au moment des faits - 2.72gr/l - avait toujours nié avoir porté le moindre coup. Il avait expliqué que c'était la mère qui avait tenté de pénétrer dans le domicile, ceci n'expliquant pas l'hématome au bras dont elle s'était plainte et qui n'avait engendré aucun jour d'ITT.
Devant le tribunal correctionnel, l'avocat de la défense, le bâtonnier Georges-André Hoarau, avait fait valoir la proximité entre l'ancienne conjointe et un policier de Saint-André, ce qui, selon le conseil, aurait permis de "monter le dossier en épingle". Mais les juges avaient tout de même condamné son client à une amende de 1000 euros ainsi qu'à une indemnisation de 400 euros au titre du préjudice moral de la victime.
Sollicitée à son tour, la cour d'appel n'a pas eu la même lecture du dossier. Concernant d'une part l'alcoolisation du prévenu qui pouvait bien faire ce qu'il voulait dans la mesure où il se trouvait chez lui. Pour les magistrats de la rue Juliette Dodu, la plaignante était venue chercher son fils avant l'heure prévue et avait pénétré au domicile paternel sans y avoir été invitée.
D'autre part, aucun témoin n'ayant été présent lors des violences rapportées, la cour a estimé qu'il n'y en avait pas eu et a relaxé Jérémy A., inconnu des services de police et de justice.