Depuis l’infanticide à la Rivière des Galets dimanche dernier, c’est un sujet encore plus sensible que d’habitude. Comment prévoir et empêcher de telles horreurs ? Ce vendredi, le tribunal correctionnel de Champ Fleuri a encore une fois eu affaire à un violent. François R., 30 ans, était jugé pour violences et menaces sur son ex-compagne. Et pas seulement. Une fois de plus, un enfant est impliqué.
Les faits remontent au 12 octobre 2016. Monsieur n’est plus en couple avec madame. Mais il se rend néanmoins à son domicile à Saint-Denis, ivre, s’installe dans le salon et réclame à manger. Elle refuse. C’est alors qu’une dispute éclate ; dispute qui aurait pu très mal finir. La victime se retrouve sur le dos, sur son lit, François R. sur elle avec un couteau contre la poitrine. Elle tente de saisir la lame et se blesse à la main. C’est alors que sa fille de 8 ans s’introduit dans la pièce et tente de venir en aide à sa mère. Elle aussi est blessée. Heureusement, les faits ne sont pas plus graves.
Comme c’est bien souvent le cas, François R. n’en serait pas à son premier acte de violence. Si la justice n’a pas été mêlée, il n’en reste pas moins que deux incidents ont précédé celui-ci. Deux coups de poing un jour, une chaise lancée un autre. Mais la défense le rappelle: depuis 3 ans, on n'entend plus parler de lui.
Il a finalement été condamné à 18 mois de prison dont 12 avec sursis. La même peine que celle requise par la procureure.
Les faits remontent au 12 octobre 2016. Monsieur n’est plus en couple avec madame. Mais il se rend néanmoins à son domicile à Saint-Denis, ivre, s’installe dans le salon et réclame à manger. Elle refuse. C’est alors qu’une dispute éclate ; dispute qui aurait pu très mal finir. La victime se retrouve sur le dos, sur son lit, François R. sur elle avec un couteau contre la poitrine. Elle tente de saisir la lame et se blesse à la main. C’est alors que sa fille de 8 ans s’introduit dans la pièce et tente de venir en aide à sa mère. Elle aussi est blessée. Heureusement, les faits ne sont pas plus graves.
Comme c’est bien souvent le cas, François R. n’en serait pas à son premier acte de violence. Si la justice n’a pas été mêlée, il n’en reste pas moins que deux incidents ont précédé celui-ci. Deux coups de poing un jour, une chaise lancée un autre. Mais la défense le rappelle: depuis 3 ans, on n'entend plus parler de lui.
Il a finalement été condamné à 18 mois de prison dont 12 avec sursis. La même peine que celle requise par la procureure.