Le maire de Saint-Benoît a échangé avec le préfet de La Réunion et le général de la Gendarmerie de La Réunion ce vendredi matin pour apporter une réponse aux violences qui ont marqué Bras-Fusil en fin de semaine dernière.
Patrice Selly a annoncé le déploiement de nouveaux médiateurs de nuit dans les prochains jours, mais aussi de caméras de vidéosurveillance dans le centre-ville d'ici le mois prochain.
L'édile annonce aussi un renforcement du nombre de policiers municipaux qui devraient pouvoir ensuite organiser des patrouilles nocturnes pour épauler les gendarmes.
Patrice Selly a annoncé le déploiement de nouveaux médiateurs de nuit dans les prochains jours, mais aussi de caméras de vidéosurveillance dans le centre-ville d'ici le mois prochain.
L'édile annonce aussi un renforcement du nombre de policiers municipaux qui devraient pouvoir ensuite organiser des patrouilles nocturnes pour épauler les gendarmes.
Identification des familles des fauteurs de troubles
Le préfet a rappelé qu'une enquête est toujours en cours suite aux violences de la semaine dernière. Jacques Billant assure que Bras-Fusil ne sera jamais une zone de non-droit.
Il annonce qu'une identification est en cours pour identifier les familles des fauteurs de troubles. Le préfet explique que les parents ont des devoirs et des responsabilités et que les mineurs délaissés seront identifiés.
L'Etat se réserve le droit de saisir le juge des enfants et engager la responsabilité pénale ou civile des parents. Ce qui pourrait avoir pour conséquences de condamner les parents à verser des intérêts aux victimes.
Le général précise qu'il existe plusieurs actions comme le rappel à la loi par la justice ou encore le rappel à l'ordre par le maire devant ses parents ou encore des mesures réparatrices qui peuvent avoir des portées éducatives.
Présence des forces de l'ordre
"On est sur des agressions gratuites faites par des jeunes majeurs ou des mineurs avancés dans le cadre de rivalités entre bandes", déplore le Général Pierre Poty, commandant général de la Gendarmerie de La Réunion.
Des renforts ont été mobilisés pour faire avancer l'enquête démarrée suite aux violences de la semaine dernière. La présence des forces de l'ordre est aussi plus importante durant des heures où l'affluence des groupes de jeunes est plus forte.
Suspension des allocations
Le maire de Saint-Benoît explique qu'il va rencontrer la semaine prochaine le directeur de la CAF sur le sujet pour les cas de suspicion de fraudes et c'est suite à une enquête que les suspensions pourront être réalisées.
Le Conseil pour les droits et les devoirs des familles examinera les dossiers et Patrice Selly assure qu'il saisira alors systématiquement le directeur de la CAF en cas de suspicion de fraudes et cela "sans états d'âme".
Le préfet a rappelé qu'une enquête est toujours en cours suite aux violences de la semaine dernière. Jacques Billant assure que Bras-Fusil ne sera jamais une zone de non-droit.
Il annonce qu'une identification est en cours pour identifier les familles des fauteurs de troubles. Le préfet explique que les parents ont des devoirs et des responsabilités et que les mineurs délaissés seront identifiés.
L'Etat se réserve le droit de saisir le juge des enfants et engager la responsabilité pénale ou civile des parents. Ce qui pourrait avoir pour conséquences de condamner les parents à verser des intérêts aux victimes.
Le général précise qu'il existe plusieurs actions comme le rappel à la loi par la justice ou encore le rappel à l'ordre par le maire devant ses parents ou encore des mesures réparatrices qui peuvent avoir des portées éducatives.
Présence des forces de l'ordre
"On est sur des agressions gratuites faites par des jeunes majeurs ou des mineurs avancés dans le cadre de rivalités entre bandes", déplore le Général Pierre Poty, commandant général de la Gendarmerie de La Réunion.
Des renforts ont été mobilisés pour faire avancer l'enquête démarrée suite aux violences de la semaine dernière. La présence des forces de l'ordre est aussi plus importante durant des heures où l'affluence des groupes de jeunes est plus forte.
Suspension des allocations
Le maire de Saint-Benoît explique qu'il va rencontrer la semaine prochaine le directeur de la CAF sur le sujet pour les cas de suspicion de fraudes et c'est suite à une enquête que les suspensions pourront être réalisées.
Le Conseil pour les droits et les devoirs des familles examinera les dossiers et Patrice Selly assure qu'il saisira alors systématiquement le directeur de la CAF en cas de suspicion de fraudes et cela "sans états d'âme".