Il y a quelques semaines encore, le couple publiait des photos et des vidéos où tout semble aller comme dans le meilleur des mondes. Mais comme chacun sait, il faut se méfier des apparences et encore plus sur les réseaux sociaux. Laurent D., ancien militaire et pilote d'un ULM dont il est propriétaire, est en détention provisoire depuis quelques semaines avant son jugement dans le cadre d'une comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Saint-Denis. Cette comparution étant différée, il sera jugé pour violence conjugale et agression sexuelle.
Le quinquagénaire né en 1966 semble avoir perdu les pédales dans une relation qu'il qualifie lui-même de "toxique". Ce mardi, amaigri, le visage froissé, il comparaissait devant la chambre de l'instruction afin de demander au juge de lui rendre sa liberté en attendant son procès prévu le 17 avril prochain. Le prévenu reconnait spontanément tous les faits qui lui sont reprochés et insiste sur la honte qu'il ressent.
Le quinquagénaire né en 1966 semble avoir perdu les pédales dans une relation qu'il qualifie lui-même de "toxique". Ce mardi, amaigri, le visage froissé, il comparaissait devant la chambre de l'instruction afin de demander au juge de lui rendre sa liberté en attendant son procès prévu le 17 avril prochain. Le prévenu reconnait spontanément tous les faits qui lui sont reprochés et insiste sur la honte qu'il ressent.
Laurent D. sait qu'il pourrait être écroué à l'issue de sa condamnation et indique aux magistrats qu'il a besoin de se préparer en amont et notamment de "vendre son avion". Son avocat, Me Morgan Pouly, indique aux magistrats que le placement en détention en attendant le 17 avril n'est pas justifié. "Mon client et la victime ont été entendus, ils ont été confrontés et il n'y a aucune divergence entre eux concernant les faits", soutient la robe noire.
"Je l'aime, j'ai fait n'importe quoi, je le regrette", ajoute Laurent D. On était un joli couple", poursuit celui qui a frappé et agressé sexuellement sa bien-aimée en la poursuivant jusque sous la douche.
Malgré un mea culpa et les arguments déployés en défense, les magistrats ont choisi de suivre les réquisitions du parquet général faisant valoir le risque de pression et de réitération des faits. Laurent D. attendra son passage à la barre derrière les barreaux.
"Je l'aime, j'ai fait n'importe quoi, je le regrette", ajoute Laurent D. On était un joli couple", poursuit celui qui a frappé et agressé sexuellement sa bien-aimée en la poursuivant jusque sous la douche.
Malgré un mea culpa et les arguments déployés en défense, les magistrats ont choisi de suivre les réquisitions du parquet général faisant valoir le risque de pression et de réitération des faits. Laurent D. attendra son passage à la barre derrière les barreaux.