
"Quelles sont les vrais raisons pour que Thierry Robert choisisse de quitter la mairie de St-Leu" s’est, ce dimanche matin, interrogé le Collectif de la société civile de Saint-Leu d'opposition. Une question à laquelle Vincent Défaud, David Tien Mi Tiee et Maurice Chaffarod, ont souhaité "apporter un éclairage", à une heure de la passation de pouvoir entre l’ancien maire et Bruno Domen.
Trois raisons expliqueraient le choix du député de La Réunion de laisser le fauteuil de maire au profit de son dixième adjoint, "qui ne s’est pas illustré pour sa proximité avec la population", lance le collectif.
La première renverrait à la situation financière de la commune "endettée et insolvable". "Comme cadeau de départ, Thierry Robert offre une dette de 3 millions d'euros aux Saint-Leusiens", affirme Vincent Défaud. L’augmentation des budgets " fête", communication et voyages est pointée par les trois hommes alors que dans le même temps celui de la "bourse et prix aux scolaires a diminué de 70 %". Une crise financière dénoncée depuis des années par les élus de l’opposition, rappellent-ils, article de journal à l’appui. Le collectif prévoit ainsi une augmentation des impôts l’année prochaine.
"Le député se sentirait-il protégé avec son immunité parlementaire ?"
"Chantiers à l’arrêt", "écoles abandonnées", "mauvaise politique de gestion des ressources humaines au sein de la mairie", Thierry Robert "laisse la patate chaude à Bruno Domen, son successeur qui va tout prendre dans la figure" avance Vincent Défaud.
Mais avant tout, en se maintenant comme député, "Thierry Robert fait le choix des ors des palais parisiens plutôt que la proximité avec la population Saint-Leusienne". Pour le collectif, le politique renierait sa parole donnée de toujours privilégier son mandat local de maire plutôt qu’un mandat national.
"Au vu du nombre d’affaires qui concernent le député se sentirait-il protégé avec son immunité parlementaire ?" Question rhétorique du Collectif de la société civile de Saint-Leu d'opposition qui fait référence aux affaires et condamnations immobilières du promoteur.
"L’opposition municipale et la société civile dénoncent la mascarade de ce matin symptomatique de la démagogie et la mal gouvernance à Saint-Leu".
Trois raisons expliqueraient le choix du député de La Réunion de laisser le fauteuil de maire au profit de son dixième adjoint, "qui ne s’est pas illustré pour sa proximité avec la population", lance le collectif.
La première renverrait à la situation financière de la commune "endettée et insolvable". "Comme cadeau de départ, Thierry Robert offre une dette de 3 millions d'euros aux Saint-Leusiens", affirme Vincent Défaud. L’augmentation des budgets " fête", communication et voyages est pointée par les trois hommes alors que dans le même temps celui de la "bourse et prix aux scolaires a diminué de 70 %". Une crise financière dénoncée depuis des années par les élus de l’opposition, rappellent-ils, article de journal à l’appui. Le collectif prévoit ainsi une augmentation des impôts l’année prochaine.
"Le député se sentirait-il protégé avec son immunité parlementaire ?"
"Chantiers à l’arrêt", "écoles abandonnées", "mauvaise politique de gestion des ressources humaines au sein de la mairie", Thierry Robert "laisse la patate chaude à Bruno Domen, son successeur qui va tout prendre dans la figure" avance Vincent Défaud.
Mais avant tout, en se maintenant comme député, "Thierry Robert fait le choix des ors des palais parisiens plutôt que la proximité avec la population Saint-Leusienne". Pour le collectif, le politique renierait sa parole donnée de toujours privilégier son mandat local de maire plutôt qu’un mandat national.
"Au vu du nombre d’affaires qui concernent le député se sentirait-il protégé avec son immunité parlementaire ?" Question rhétorique du Collectif de la société civile de Saint-Leu d'opposition qui fait référence aux affaires et condamnations immobilières du promoteur.
"L’opposition municipale et la société civile dénoncent la mascarade de ce matin symptomatique de la démagogie et la mal gouvernance à Saint-Leu".